Vula loi n° 1/015 du 20 juillet 1999 portant RĂ©forme du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; Du suivi socio-judiciaire Article 78 : Dans les cas prĂ©vus par la loi, les cours et tribunaux peuvent ordonner un suivi socio- judiciaire. Le suivi socio-judiciaire emporte, pour le condamnĂ©, l’obligation de se soumettre, sous le contrĂŽle de l’Officier du MinistĂšre Public et pendant une durĂ©e
Les personnes convoquĂ©es par un officier de police judiciaire pour les nĂ©cessitĂ©s de l'enquĂȘte sont tenues de comparaĂźtre. L'officier de police judiciaire peut contraindre Ă  comparaĂźtre par la force publique, avec l'autorisation prĂ©alable du procureur de la RĂ©publique, les personnes qui n'ont pas rĂ©pondu Ă  une convocation Ă  comparaĂźtre ou dont on peut craindre qu'elles ne rĂ©pondent pas Ă  une telle convocation. Le procureur de la RĂ©publique peut Ă©galement autoriser la comparution par la force publique sans convocation prĂ©alable en cas de risque de modification des preuves ou indices matĂ©riels, de pressions sur les tĂ©moins ou les victimes ainsi que sur leur famille ou leurs proches, ou de concertation entre les coauteurs ou complices de l'infraction. L'article 62 est applicable. L'officier de police judiciaire dresse procĂšs-verbal de leurs dĂ©clarations. Les agents de police judiciaire dĂ©signĂ©s Ă  l'article 20 peuvent Ă©galement, sous le contrĂŽle d'un officier de police judiciaire, entendre les personnes convoquĂ©es. Les procĂšs-verbaux sont dressĂ©s dans les conditions prĂ©vues par les articles 61 et 62-1.
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Larticle 78 du code de procédure pénale permet à la police judiciaire de faire comparaßtre par la force une personne devant l'officier de police judiciaire, aprÚs avoir recueilli

La garde Ă  vue est une mesure de privation de libertĂ©. Une personne peut ĂȘtre mise en garde Ă  vue uniquement si elle est poursuivie pour un crime ou un dĂ©lit puni par une peine d’emprisonnement. Il faut qu’il existe des raisons plausibles de croire que la personne a commis ou tentĂ© de commettre cette infraction. En raison de ce caractĂšre attentatoire aux libertĂ©s, cette mesure est placĂ©e par la loi et la jurisprudence sous le contrĂŽle du Procureur de la RĂ©publique. L’article 63 alinĂ©a 2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale dispose que dĂšs le dĂ©but de la garde Ă  vue l’officier de police judiciaire informe le procureur de la RĂ©publique, par tout moyen, du placement de la personne en garde Ă  vue ». Tout d’abord, il convient de prĂ©ciser que seul un officier de police judiciaire dĂ©tient le pouvoir de placer une personne en garde Ă  vue, un agent de police judiciaire ne dispose pas d’un tel pouvoir. La garde Ă  vue est dĂ©finie par le Code de procĂ©dure pĂ©nale Ă  l’article 62-2. Cet article dispose que la garde Ă  vue est une mesure de contrainte dĂ©cidĂ©e par un officier de police judiciaire, sous le contrĂŽle de l’autoritĂ© judiciaire, par laquelle une personne Ă  l’encontre de laquelle il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit puni d’une peine d’emprisonnement est maintenue Ă  la disposition des enquĂȘteurs ». La garde Ă  vue est une mesure contraignante qui vise Ă  priver un individu de sa libertĂ© individuelle d’aller et de venir. De facto, elle doit ĂȘtre strictement encadrĂ©e et des garanties doivent ainsi ĂȘtre accordĂ©es Ă  la personne gardĂ©e Ă  vue. Il faut ainsi noter que la garde Ă  vue doit ĂȘtre exĂ©cutĂ©e sous le contrĂŽle du Procureur de la RĂ©publique conformĂ©ment Ă  l’article 41 alinĂ©a 3 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. L’article 63 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ajoute l’obligation d’informer le Procureur de la RĂ©publique du placement en garde Ă  vue. Concernant la notification de la garde Ă  vue au Procureur de la RĂ©publique, la jurisprudence oscille entre souplesse et sĂ©vĂ©ritĂ©. Si elle se montre souple Ă  l’égard du formalisme de l’information du procureur, elle se montre plus stricte quant au dĂ©lai de notification de l’information. I. Une jurisprudence souple Ă  l’égard du formalisme de la notification. ConformĂ©ment Ă  l’article 63 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, afin de garantir le respect des droits de la dĂ©fense, il est nĂ©cessaire que l’officier de police judiciaire informe le Procureur de la RĂ©publique Du placement en garde Ă  vue d’une personne, Des motifs du placement, De la qualification des faits notifiĂ©s Ă  la personne. L’obligation d’informer le Procureur de la RĂ©publique n’est soumise Ă  aucune formalitĂ© spĂ©cifique. En effet, l’article 63 du Code de procĂ©dure pĂ©nale dispose que l’officier de police judiciaire doit informer le procureur de la RĂ©publique par tout moyen ». En l’absence de prĂ©cision lĂ©gale, la jurisprudence a eu l’occasion d’apporter des prĂ©cisions sur la question. A cet Ă©gard, elle a fait preuve de souplesse. Dans un arrĂȘt rendu le 31 octobre 2001 n° la chambre criminelle de la Cour de cassation a jugĂ© que l’avis d’un placement en garde Ă  vue transmis Ă  un auditeur de justice qui assistait un magistrat du ministĂšre public n’entrainait pas la nullitĂ© de la garde Ă  vue. Plus rĂ©cemment, la jurisprudence a de nouveau fait preuve de souplesse quant au formalisme de la notification. En effet, dans un arrĂȘt du 14 avril 2010 n° la chambre criminelle a admis que l’obligation d’information Ă©tait satisfaite dĂšs lors que l’information Ă©tait transmise par tĂ©lĂ©copie. Si le lĂ©gislateur ne soumet l’information du procureur de la RĂ©publique Ă  aucune forme particuliĂšre, les juges entendent largement cette obligation de notification. Reste Ă  savoir, si cette souplesse de l’article 63 du Code de procĂ©dure pĂ©nale et des juridictions garantie tout de mĂȘme le respect des droits de la dĂ©fense. En effet, par cette absence de formalisme, il n’existe aucun moyen permettant de vĂ©rifier que le Procureur de la RĂ©publique ait pris connaissance du placement en garde Ă  vue. Cette souplesse se trouve ainsi contrebalancĂ©e par une position plus stricte de la jurisprudence Ă  l’égard du dĂ©lai de notification de l’information au procureur de la RĂ©publique. II. Une jurisprudence stricte Ă  l’égard du dĂ©lai de notification. Selon l’article 41 alinĂ©a 3 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, le Procureur de la RĂ©publique contrĂŽle les mesures de garde Ă  vue ». Afin de pouvoir exercer un contrĂŽle effectif, le Procureur de la RĂ©publique doit nĂ©cessairement ĂȘtre informĂ© du placement en garde Ă  vue de la personne. C’est la raison pour laquelle le dĂ©lai de notification de l’information au procureur se trouve strictement encadrĂ©. Il faut d’ailleurs souligner une Ă©volution lĂ©gislative quant au moment de la notification au Procureur. En effet, avant la loi du 15 juin 2000, l’information au procureur devait s’effectuer dans les meilleurs dĂ©lais ». DĂ©sormais, le Code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit que l’officier de police judiciaire doit informer le Procureur de la RĂ©publique dĂšs le dĂ©but de la garde Ă  vue ». Cette modification lĂ©gislative marque l’intention du lĂ©gislateur d’informer immĂ©diatement le procureur de la RĂ©publique du placement en garde Ă  vue. En rĂ©ponse Ă  cette Ă©volution, la chambre criminelle a rendu un arrĂȘt le 10 mai 2001 n° dans laquelle elle a retenu que tout retard dans l’information donnĂ©e au procureur du placement en garde Ă  vue d’un individu, non justifiĂ© par des circonstances insurmontables, fait nĂ©cessairement grief Ă  l’intĂ©ressĂ© ». Plus prĂ©cisĂ©ment, la chambre criminelle de la Cour de cassation, le 24 mai 2016 a estimĂ© le dĂ©lai entre le placement de la personne en garde Ă  vue et le respect de l’obligation de notification au procureur d’une demi-heure 30 min Ă  trois quarts d’heure 45 min. Au-delĂ , ce dĂ©lai sera jugĂ© excessif et entrainera l’annulation de la garde Ă  vue conformĂ©ment Ă  l’article 171 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. Si le procureur de la RĂ©publique doit ĂȘtre informĂ© dĂšs le dĂ©but du placement en garde Ă  vue, reste Ă  savoir Ă  quel moment dĂ©bute la mesure dĂšs son interpellation ou bien dĂšs sa remise Ă  l’officier de police judiciaire ? La chambre criminelle de la Cour de cassation avait retenu dans un arrĂȘt rendu le 6 dĂ©cembre 2000 n°367, que la mesure dĂ©butait dĂšs que la personne Ă©tait tenue sous la contrainte et Ă  la disposition des services de police. RĂ©cemment, la Cour d’appel de Paris, dans un arrĂȘt rendu le 6 mars 2020 n°20/01017, adopte une autre position. Elle considĂšre en effet, que le dĂ©lai concernant les diligences de notification de la garde Ă  vue ainsi que des droits affĂ©rents s’examine, non Ă  compter du contrĂŽle ou de l’interpellation, mais Ă  compter de la prĂ©sentation Ă  l’officier de police judiciaire ». Par cet arrĂȘt, la jurisprudence prend position et affirme que le Procureur de la RĂ©publique doit ĂȘtre informĂ© dĂšs la remise Ă  l’officier de police judiciaire. Pour rappel, la garde Ă  vue est une mesure privative de libertĂ© aller et venir. Elle doit donc ĂȘtre notifiĂ©e au Procureur de la RĂ©publique en respect des droits de la dĂ©fense. Par cette prise de position rĂ©cente de la jurisprudence, on s’interroge sur l’effectivitĂ© des droits de la dĂ©fense du moment de l’interpellation jusqu’à la prĂ©sentation Ă  l’officier de police judiciaire.

\n \n article 78 2 du code de procedure penale
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Lorsqu'elleapor1e suehun véhicu44 à al'arrÃÂȘL ou e03statEGIn="ret,ala visi1e seS1éroul= e03présre0eadu p;nducteur ou 1u propriétaass du véhicu44 ou, à a1éfaut,od'un Spers" n=arequis4 à acet effeD paehl'ofiiccTa ou l'agretadeapol00eajudici"ass et quiSneSrelÚveSpas deas" aautoriLé administrative. La3présre0ead'un Spers" n=aextériduee n'est toutefoisSpas requis4 siala visi1e compor1e des risques graves pouehla sécuriLé des pers" n=daet des cas deS1écouver1e d'un Sinfrcc16" ou si 44 c;nducteur ou le propriétaass du véhicu44 le dem2-08 ainsi que 1- s 44Ecas oÃÂčala visi1e seS1éroul= e03leur absre0e, il est établihun procÚs-verbalS"ret6" n"nD 44 lieu et 44s 1-1edaet hdueel deS1ébut>etadeafinSdeSces opératEGIs. 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Le Quotidien du 6 avril 2012 Droit des Ă©trangers CrĂ©er un lien vers ce contenu [BrĂšves] ContrĂŽle opĂ©rĂ© en application de l'article 78-2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©termination de la qualitĂ© d'Ă©tranger. Lire en ligne Copier Si les services de police peuvent requĂ©rir la prĂ©sentation des documents sous le couvert desquels une personne de nationalitĂ© Ă©trangĂšre est autorisĂ©e Ă  circuler ou sĂ©journer en France, cette facultĂ© est, cependant, subordonnĂ©e Ă  la constatation de la qualitĂ© d'Ă©tranger, laquelle doit se dĂ©duire d'Ă©lĂ©ments objectifs extĂ©rieurs Ă  la personne mĂȘme de l'intĂ©ressĂ©. Telle est la solution d'un arrĂȘt rendu par la Cour de cassation le 28 mars 2012 Cass. civ. 1, 28 mars 2012, n° F-P+B+I N° Lexbase A7573IGL. Agissant en exĂ©cution d'une rĂ©quisition du procureur de la RĂ©publique prise sur le fondement de l'article 78-2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale N° Lexbase L8747IQZ, les policiers ont contrĂŽlĂ© l'identitĂ© de M. X, de nationalitĂ© marocaine, en situation irrĂ©guliĂšre en France. Il a dĂ©clarĂ© ĂȘtre nĂ© Ă  Oujda Maroc et n'a pas rĂ©pondu aux questions relatives Ă  sa date de naissance. Les policiers l'ont placĂ© en garde Ă  vue pour sĂ©jour irrĂ©gulier en France. Le prĂ©fet de police de Paris a pris, Ă  son encontre, un arrĂȘtĂ© de reconduite Ă  la frontiĂšre et une dĂ©cision de placement en rĂ©tention administrative. Un juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention a prolongĂ© cette mesure, dĂ©cision infirmĂ©e par l'ordonnance attaquĂ©e. Selon la Cour suprĂȘme, l'ordonnance retient Ă  bon droit que, si l'article L. 611-1, alinĂ©a 2, du Code de l'entrĂ©e et du sĂ©jour des Ă©trangers et du droit d'asile N° Lexbase L5875G4D autorise les services de police, Ă  la suite d'un contrĂŽle opĂ©rĂ© en application de l'article 78-2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, Ă  requĂ©rir la prĂ©sentation des documents sous le couvert desquels une personne de nationalitĂ© Ă©trangĂšre est autorisĂ©e Ă  circuler ou sĂ©journer en France, cette facultĂ© est, cependant, subordonnĂ©e Ă  la constatation de la qualitĂ© d'Ă©tranger, laquelle doit se dĂ©duire d'Ă©lĂ©ments objectifs extĂ©rieurs Ă  la personne mĂȘme de l'intĂ©ressĂ©. Or, le fait d'ĂȘtre nĂ© Ă  l'Ă©tranger et de ne pas rĂ©pondre aux questions relatives Ă  sa date de naissance ne constitue pas un Ă©lĂ©ment objectif dĂ©duit des circonstances extĂ©rieures Ă  la personne, susceptible de prĂ©sumer la qualitĂ© d'Ă©tranger. Le pourvoi est donc rejetĂ©. © Reproduction interdite, sauf autorisation Ă©crite prĂ©alable newsid431274 Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies Ă  des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramĂ©trer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisĂ©e uniquement pour des besoins internes, peut ĂȘtre amenĂ© Ă  suivre une partie du parcours utilisateur afin d’amĂ©liorer l’expĂ©rience utilisateur et l’éventuelle relation commerciale. Il s’agit d’information uniquement dĂ©diĂ©e Ă  l’usage de Lexbase et elles ne sont communiquĂ©es Ă  aucun tiers, autre que Salesforce qui s’est engagĂ©e Ă  ne pas utiliser lesdites donnĂ©es. DonnĂ©es analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilitĂ© d'accĂšs aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'amĂ©liorer quotidiennement votre expĂ©rience utilisateur. Ces donnĂ©es sont exclusivement Ă  usage interne.

14JANVIER 1999. - Loi portant modification des articles 35 et 47bis du Code d'instruction criminelle, de l'article 31 de la loi du 12 mars 1998 Documents pertinents retrouvés type loi prom. 12/03/1998 pub. 02/04/1998 numac 1998009267 source ministere de la justice Loi relative à l'amélioration de la procédure pénale au stade de l'information et de l'instruction

Le statut de repenti Les repentis sont les personnes ayant coopĂ©rĂ© avec les autoritĂ©s judiciaires ou policiĂšres alors qu’ils ont participĂ© Ă  des activitĂ©s criminelles. Cette collaboration leur permet d’obtenir des avantages. La loi Perben II du 9 mars 2004 a permis d’introduire, en droit français, un statut du repenti. I. — La mise en Ɠuvre du dispositif Le statut de repenti A. — La prĂ©sentation du dispositif Les dispositions relatives aux collaborateurs de justice, communĂ©ment appelĂ©s les repentis, ont Ă©tĂ© modifiĂ©es par la loi Perben II du 9 mars 2004 et la loi du 6 dĂ©cembre 2013. Ces dispositions, anciennement limitĂ©es Ă  certaines infractions, ont vu son champ d’application Ă©largi Ă  toutes les infractions relevant de la criminalitĂ© organisĂ©e. Selon la note de synthĂšse du SĂ©nat les repentis face Ă  la justice pĂ©nale », le statut de repenti concerne les personnes qui, ayant participĂ© Ă  des activitĂ©s criminelles, acceptent de coopĂ©rer avec les autoritĂ©s judiciaires ou policiĂšres et obtiennent diffĂ©rents avantages en Ă©change de leur collaboration ». L’article 732-78 du Code pĂ©nal prĂ©cise qu’aucune condamnation ne peut intervenir sur le seul fondement des dĂ©clarations d’une personne ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© des dispositions relatives aux repentis. De plus, l’attribution du statut de repenti ne fait pas obstacle Ă  sa responsabilitĂ© pĂ©nale. B. — La procĂ©dure de mise en Ɠuvre Le statut de repenti Le dispositif peut ĂȘtre mis en Ɠuvre aussi bien au stade de l’enquĂȘte, de l’instruction que devant l’autoritĂ© de jugement. En ce qui concerne les infractions d’association de malfaiteurs et de complots, le dispositif doit ĂȘtre mis en Ɠuvre avant toute poursuite. La mise en Ɠuvre est effectuĂ©e par le procureur de la RĂ©publique ou le juge d’instruction qui feront application de l’article 132-78 du Code pĂ©nal lorsque les rĂ©vĂ©lations du mis en cause lui permettent de bĂ©nĂ©ficier d’une exemption ou rĂ©duction de peine. La loi ne prĂ©voit pas de formalisme particulier et il reviendra Ă  la juridiction de jugement de dĂ©cider de la diminution ou de l’exemption de la peine. En ce sens, la juridiction de jugement n’est pas liĂ©e par le statut de repenti qui a Ă©tĂ© attribuĂ© au cours de la procĂ©dure. II. — Les effets du statut de repenti Le statut de repenti A. — Les effets du dispositif sur la peine prononcĂ©e L’article 132-78 du Code pĂ©nal prĂ©voit plusieurs consĂ©quences Ă  l’octroi du statut de repenti. Tout d’abord, une exemption de peine peut ĂȘtre accordĂ©e dans l’hypothĂšse d’une infraction tentĂ©e. La personne qui a tentĂ© de commettre un crime ou un dĂ©lit peut bĂ©nĂ©ficier d’une exonĂ©ration de peine, si ayant averti l’autoritĂ© administrative ou judiciaire, elle a permis d’éviter la rĂ©alisation de l’infraction et le cas Ă©chĂ©ant d’identifier les autres auteurs et complices. D’autre part, une rĂ©duction de peine peut ĂȘtre reconnue pour la personne qui a commis un crime ou un dĂ©lit dans les cas prĂ©vus par la loi, si, ayant avisĂ© l’autoritĂ© administrative ou judiciaire, elle a permis de faire cesser l’infraction, d’éviter que l’infraction ne produise un dommage ou d’identifier les divers auteurs ou complices. B. — Les mesures de protection du repenti Le statut de repenti L’article 706-63-1 du Code de procĂ©dure pĂ©nale Ă©nonce le dispositif de protection et de rĂ©insertion des repentis. Le bĂ©nĂ©fice des mesures de protection n’est pas automatique ni obligatoire lorsque l’attribution du statut de repenti a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e. Il conviendra d’apprĂ©cier s’il existe des risques de nature Ă  justifier ces mesures. Ces mesures sont dĂ©cidĂ©es par la Commission nationale de protection et de rĂ©insertion CNPR. La commission est saisie par le procureur de la RĂ©publique ou le juge d’instruction. L’attribution d’une identitĂ© d’emprunt est possible dans le cadre de ces mesures de protection. Elle peut ĂȘtre proposĂ©e par la CNPR qui doit saisir par requĂȘte le prĂ©sident du tribunal judiciaire de Paris. L’autorisation du parquet de Paris est obligatoire. L’article 706-63-2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit la possibilitĂ© de bĂ©nĂ©ficier de la mise en Ɠuvre du huis clos ou d’une comparution du repenti dans des conditions Ă  prĂ©server son anonymat. Ces mesures peuvent ĂȘtre effectuĂ©es suite Ă  la demande du repenti ou par la juridiction et seront justifiĂ©es lorsque l’audition sera de nature Ă  mettre gravement en danger l’intĂ©gritĂ© physique du repenti ou celles de ses proches. III. — Contacter un avocat Le statut de repenti Pour votre dĂ©fense avocat pĂ©nalistes francophones du cabinet Aci assurera efficacement votre dĂ©fense. Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au tĂ©lĂ©phone ou bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre dĂ©fense durant la phase d’enquĂȘte garde Ă  vue ; d’instruction juge d’instruction, chambre de l’instruction ; devant la chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire aprĂšs le procĂšs, auprĂšs de l’administration pĂ©nitentiaire par exemple. IV. — Les domaines d’intervention du cabinet Aci Cabinet d’avocats pĂ©nalistes parisiens D’abord, Adresse 55, rue de Turbigo 75003 PARIS Puis, TĂ©l Ensuite, Fax Engagement, E-mail contact Enfin, CatĂ©gories PremiĂšrement, LE CABINET En premier lieu, RĂŽle de l’avocat pĂ©naliste Le statut de repenti En somme, Droit pĂ©nal Le statut de repenti Tout d’abord, pĂ©nal gĂ©nĂ©ral Le statut de repenti AprĂšs cela, Droit pĂ©nal spĂ©cial les infractions du code pĂ©nal Puis, pĂ©nal des affaires Le statut de repenti Aussi, Droit pĂ©nal fiscal Le statut de repenti MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’urbanisme Le statut de repenti De mĂȘme, Le droit pĂ©nal douanier Le statut de repenti En outre, Droit pĂ©nal de la presse Le statut de repenti Et ensuite, pĂ©nal des nuisances Donc, pĂ©nal routier infractions Outre cela, Droit pĂ©nal du travail MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’environnement Cependant, pĂ©nal de la famille En outre, Droit pĂ©nal des mineurs Ainsi, Droit pĂ©nal de l’informatique En fait, pĂ©nal international Tandis que, Droit pĂ©nal des sociĂ©tĂ©s NĂ©anmoins, Le droit pĂ©nal de la consommation Toutefois, Lexique de droit pĂ©nal Alors, Principales infractions en droit pĂ©nal Puis, ProcĂ©dure pĂ©nale Pourtant, Notions de criminologie En revanche, DÉFENSE PÉNALE Aussi, AUTRES DOMAINES Enfin, CONTACT. Larticle 171 du Code de procĂ©dure pĂ©nale dispose : « Il y a nullitĂ© lorsque la mĂ©connaissance d’une formalitĂ© substantielle prĂ©vue par une disposition du prĂ©sent code ou toute autre disposition de procĂ©dure pĂ©nale a portĂ© atteinte aux intĂ©rĂȘts de la partie qu’elle concerne » Ainsi, la partie qui dĂ©sire agir en nullitĂ© doit dĂ©montrer que la mĂ©connaissance d’une rĂšgle En cas d'empĂȘchement ou lorsqu'il a participĂ© Ă  l'instruction de l'affaire, le prĂ©sident du tribunal de premiĂšre instance est remplacĂ©, par ordonnance du premier prĂ©sident, par un magistrat du siĂšge appartenant au ressort de la cour d'appel. En cas d'empĂȘchement, le procureur de la RĂ©publique est remplacĂ© par un magistrat du parquet appartenant au ressort de la cour d'appel et dĂ©signĂ© par le procureur gĂ©nĂ©ral.
cetarticle 78-2 sert donc de base lĂ©gale Ă  toutes les vĂ©rifications d’identitĂ© nĂ©cessaires lors d’actions de terrain au cours desquelles des officiers ou agents de police
Les demandes d'entraide Ă©manant des autoritĂ©s judiciaires Ă©trangĂšres sont exĂ©cutĂ©es par le procureur de la RĂ©publique ou par les officiers ou agents de police judiciaire requis Ă  cette fin par ce magistrat. Elles sont exĂ©cutĂ©es par le juge d'instruction ou par des officiers de police judiciaire agissant sur commission rogatoire de ce magistrat lorsqu'elles nĂ©cessitent certains actes de procĂ©dure qui ne peuvent ĂȘtre ordonnĂ©s ou exĂ©cutĂ©s qu'au cours d'une instruction prĂ©paratoire.

Letribunal de police traite la majoritĂ© des affaires de son ressort en procĂ©dure dite simplifiĂ©e ( article 524 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ). Le tribunal de police est obligatoirement saisi par le procureur de la RĂ©publique. Le juge unique statue Ă  l’aide du procĂšs-verbal de police et des rĂ©quisitions du procureur.

. RĂ©fĂ©rence C-935-421 ISBN-10 2110767758 ISBN-13 9782110767752 Format BrochĂ© Pages 922 B Bon Petites traces de pliure sur la couverture. LĂ©gĂšres traces d’usure sur la couverture. Edition 2013. RÉSUMÉ Le Code de procĂ©dure pĂ©nale rĂ©git l'ensemble de la procĂ©dure criminelle, de la constatation des infractions au dĂ©roulement du procĂšs pĂ©nal et jusqu'Ă  l'exĂ©cution des peines enquĂȘte, contrĂŽles d'identitĂ©s, dĂ©clenchement des poursuites, instruction, jugement, voies de recours, droits de la dĂ©fense, droits des victimes, peines et conditions de dĂ©tention. ComplĂ©ment indissociable du Code pĂ©nal, cette nouvelle Ă©dition est l'outil le mieux adaptĂ© en matiĂšre de procĂ©dure judiciaire pour tous les praticiens du droit. 26,34€ dont 2,63 € reversĂ©s au partenaire donateur et 1,32 € reversĂ©s Ă  nos partenaires caritatifs.
ï»ż1 AprĂšs l’article 78-3 du code de procĂ©dure pĂ©nale, il est insĂ©rĂ© un article 78-3-1 ainsi rĂ©digĂ© : « Art. 78-3-1. – Toute personne faisant l’objet d’un contrĂŽle ou d’une vĂ©rification d’identitĂ© prĂ©vus au prĂ©sent chapitre peut, lorsqu’il existe des raisons sĂ©rieuses de penser que son comportement est liĂ© Ă  des activitĂ©s Ă  caractĂšre terroriste ou qu’elle est
En cas de dĂ©couverte d'un cadavre, qu'il s'agisse ou non d'une mort violente, mais si la cause en est inconnue ou suspecte, l'officier de police judiciaire qui en est avisĂ© informe immĂ©diatement le procureur de la RĂ©publique, se transporte sans dĂ©lai sur les lieux et procĂšde aux premiĂšres constatations. Le procureur de la RĂ©publique se rend sur place s'il le juge nĂ©cessaire et se fait assister de personnes capables d'apprĂ©cier la nature des circonstances du dĂ©cĂšs. Il peut, toutefois, dĂ©lĂ©guer aux mĂȘmes fins, un officier de police judiciaire de son choix. Sauf si elles sont inscrites sur une des listes prĂ©vues Ă  l'article 157, les personnes ainsi appelĂ©es prĂȘtent, par Ă©crit, serment d'apporter leur concours Ă  la justice en leur honneur et en leur conscience. Sur instructions du procureur de la RĂ©publique, une enquĂȘte aux fins de recherche des causes de la mort est ouverte. Dans ce cadre et Ă  ces fins, il peut ĂȘtre procĂ©dĂ© aux actes prĂ©vus par les articles 56 Ă  62, dans les conditions prĂ©vues par ces dispositions. A l'issue d'un dĂ©lai de huit jours Ă  compter des instructions de ce magistrat, ces investigations peuvent se poursuivre dans les formes de l'enquĂȘte prĂ©liminaire. Le procureur de la RĂ©publique peut aussi requĂ©rir information pour recherche des causes de la mort. Les dispositions des quatre premiers alinĂ©as sont Ă©galement applicables en cas de dĂ©couverte d'une personne griĂšvement blessĂ©e lorsque la cause de ses blessures est inconnue ou suspecte. PDF| Tout le droit pĂ©nal en un seul livre. Traditionnellement prĂ©sentĂ© en trois volumes, le droit pĂ©nal gĂ©nĂ©ral, la procĂ©dure pĂ©nale et le droit PĂ©nal | Find, read and cite all the La Plateforme En finir avec les contrĂŽles au faciĂšs » est une coalition d’organisations non-gouvernementales. Ensemble, elles s’efforcent de promouvoir des rĂ©formes en vue de diminuer la pratique des contrĂŽles d’identitĂ© au faciĂšs. Ces propositions de rĂ©formes reposent sur un travail de mise en commun d’expertises d’organisations internationales, de juristes, d’acteurs de terrain et d’universitaires. LedĂ©cret n° 2022-1021 du 20 juillet 2022 prĂ©cisant les dispositions des articles D. , D. 45-2-1 bis et D. 45-37-8 du Code de procĂ©dure pĂ©nale est paru au Journal officiel du 21 juillet 2022.. Le texte prĂ©cise les dispositions issues du dĂ©cret n° 2022-656 du 25 avril 2022 qui prĂ©voient que si l’intĂ©rĂȘt de la bonne administration de la justice le justifie, le prĂ©sident du ArrĂȘtĂ©s A37 et suivant du Code de ProcĂ©dure PĂ©nal CODE DE PROCEDURE PENALE Partie ArrĂȘtĂ©s Chapitre II bis De la procĂ©dure de l'amende forfaitaire Article A37 ArrĂȘtĂ© du 24 aoĂ»t 1960 Journal Officiel du 25 aoĂ»t 1960 ArrĂȘtĂ© du 27 fĂ©vrier 1964 Journal Officiel du 19 mars 1964 ArrĂȘtĂ© du 27 mai 1968 art. 2 Journal Officiel du 9 juin 1968 insĂ©rĂ© par ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 Pour relever les contraventions soumises Ă  la procĂ©dure de l'amende forfaitaire dans le cas oĂč celles-ci ne sont pas payĂ©es immĂ©diatement entre les mains de l'agent verbalisateur, ce dernier utilise des formulaires dont les caractĂ©ristiques sont fixĂ©es par les dispositions ci-aprĂšs. Article A37-1 insĂ©rĂ© par ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 Le premier volet, de format 100 mm x 186 mm et de couleur blanche, constitue la carte de paiement. Au recto, sur la partie gauche, figurent les informations relatives au service verbalisateur, Ă  la date de l'infraction, au montant de l'amende Ă  payer et, le cas Ă©chĂ©ant, le numĂ©ro d'immatriculation du vĂ©hicule. La partie droite comporte l'emplacement oĂč peut ĂȘtre apposĂ©e la partie Ă  envoyer du timbre-amende en cas de non-paiement par chĂšque, et l'indication du destinataire de la carte de paiement. Au verso, sont mentionnĂ©es les modalitĂ©s de paiement ainsi que les possibilitĂ©s de requĂȘte avec l'indication de l'autoritĂ© compĂ©tente pour recevoir la rĂ©clamation. Il est en outre prĂ©vu un emplacement oĂč sont portĂ©es des informations relatives Ă  l'auteur de la requĂȘte en exonĂ©ration. Sur ce volet sont Ă©galement indiquĂ©es les consĂ©quences du dĂ©faut de paiement et de l'absence de requĂȘte en exonĂ©ration dans les dĂ©lais impartis. Article A37-2 ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 2 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Le second volet, de format 100 mm x 186 mm et de couleur blanche, constitue l'avis de contravention. Au recto, sur la partie gauche, sont portĂ©es les mentions relatives au service verbalisateur, Ă  la nature, au lieu et Ă  la date de la contravention ainsi que les rĂ©fĂ©rences des textes rĂ©primant ladite contravention et, le cas Ă©chĂ©ant, sont prĂ©cisĂ©s les Ă©lĂ©ments d'identification du vĂ©hicule et l'obligation de procĂ©der Ă  l'Ă©change du permis de conduire. Un emplacement est rĂ©servĂ© pour informer l'auteur de la contravention qu'il encourt un retrait de points du permis de conduire si la rĂ©alitĂ© de l'infraction est Ă©tablie ; il est Ă©galement informĂ© de l'existence d'un traitement automatisĂ© de ces points et de la possibilitĂ© pour lui d'exercer le droit d'accĂšs. De mĂȘme, y figurent les mentions utiles Ă  l'information du contrevenant sur les dispositions de l'article 34 de la loi nÂș 78-17 du 6 janvier 1978 relative Ă  l'informatique, aux fichiers et aux libertĂ©s. Un emplacement est destinĂ©, en cas de non-paiement par chĂšque, Ă  l'apposition de la partie Ă  conserver du timbre-amende. Article A37-3 ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 3 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Le troisiĂšme volet, de format 100 mm x 186 mm et de couleur rose, constitue le procĂšs-verbal de contravention qui est conservĂ© par le service auquel appartient l'agent verbalisateur ou adressĂ© Ă  l'unitĂ© de gendarmerie ou de police compĂ©tente, quand les agents verbalisateurs sont ceux visĂ©s aux 2Âș et au 8Âș de l'article L. 130-4 du code de la route. Au recto, sur la partie gauche, sont portĂ©es les mentions prĂ©vues par les deuxiĂšme et troisiĂšme alinĂ©as de l'article A. 37-2, qui sont Ă©tablies par duplication de la partie gauche du deuxiĂšme volet. Sur la partie droite figurent les emplacements destinĂ©s Ă  la signature de l'agent verbalisateur et, le cas Ă©chĂ©ant, aux Ă©lĂ©ments chiffrĂ©s permettant le traitement de la contravention relevĂ©e, Ă  la signature et aux dĂ©clarations du contrevenant indiquant s'il reconnaĂźt ou ne reconnaĂźt pas l'infraction. Au verso, sur la partie gauche, figurent trois emplacements destinĂ©s Ă  enregistrer, le cas Ă©chĂ©ant, des renseignements complĂ©mentaires, Ă  noter l'Ă©tablissement d'une fiche d'immobilisation et Ă  recueillir les dĂ©clarations du contrevenant, sa signature et celle de l'enquĂȘteur. Sur la partie droite figurent les informations relatives au contrevenant ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, au titulaire du certificat d'immatriculation. Article A37-4 ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 4 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Par dĂ©rogation aux articles A. 37 Ă  A 37-3, le relevĂ© des contraventions rĂ©primĂ©es par les articles R. 413-14 et R. 413-17 du code de la route, en ce qu'ils concernent les dĂ©passements de la vitesse maximale autorisĂ©e de moins de 50 km/h dĂ©passement de la vitesse maximale autorisĂ©e pour les vĂ©hicules Ă  moteur, lorsqu'elles sont soumises Ă  la procĂ©dure de l'amende forfaitaire et qu'elles ne sont pas payĂ©es immĂ©diatement entre les mains de l'agent verbalisateur, s'effectue au moyen de formulaires simplifiĂ©s, d'un format identique Ă  ceux des formulaires dĂ©crits aux articles prĂ©citĂ©s, mais dont les caractĂ©ristiques diffĂšrent de la maniĂšre suivante - avis de contravention outre les mentions prĂ©vues Ă  l'article A. 37-2, figurent les indications relatives Ă  la vitesse maximale autorisĂ©e, Ă  celle enregistrĂ©e Ă  l'aide d'un appareil de contrĂŽle et Ă  celle retenue par le service verbalisateur, les informations sur le moyen de contrĂŽle utilisĂ©, sur le type de voie empruntĂ©e et sur le modĂšle de vĂ©hicule ; - procĂšs-verbal de contravention outre les mentions prĂ©vues Ă  l'article A. 37-3, ce volet de couleur jaune comporte au recto, sur la partie gauche, les informations obtenues par duplication du second volet dĂ©crit au paragraphe prĂ©cĂ©dent. Article A37-5 insĂ©rĂ© par ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 Les contraventions non soumises Ă  la procĂ©dure de l'amende forfaitaire qui ont donnĂ© lieu Ă  l'interpellation du contrevenant peuvent ĂȘtre constatĂ©es au moyen des formulaires dĂ©crits aux articles A. 37 Ă  A. 37-4 ci-dessus. Au recto de la carte de paiement remise au contrevenant figure l'indication que la procĂ©dure de l'amende forfaitaire n'est pas applicable et que la contravention sera jugĂ©e par le tribunal de police. Au verso du procĂšs-verbal de contravention sont recueillies les dĂ©clarations du contrevenant indiquant s'il reconnaĂźt ou ne reconnaĂźt pas l'infraction, sa signature et celle de l'enquĂȘteur. Article A37-6 ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 5 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Par dĂ©rogation aux articles A. 37 Ă  A. 37-3, le relevĂ© des contraventions Ă  l'arrĂȘt ou au stationnement des vĂ©hicules qui sont rĂ©primĂ©es par les articles R. 417-1 Ă  R. 417-6 et R. 417-10 Ă  R. 417-13 du code de la route, Ă  l'exclusion du premier alinĂ©a, lorsqu'elles sont soumises Ă  la procĂ©dure de l'amende forfaitaire et qu'elles ne sont pas payĂ©es immĂ©diatement entre les mains de l'agent verbalisateur, s'effectue au moyen de formulaires simplifiĂ©s, d'un format identique Ă  ceux dĂ©crits par les articles prĂ©citĂ©s mais dont les caractĂ©ristiques diffĂšrent de la maniĂšre suivante - avis de contravention n'y figurent pas les mentions prĂ©vues par les alinĂ©as 3 et 4 de l'article A. 37-2 ; y figurent deux emplacements pour mentionner, d'une part, si une demande d'enlĂšvement a Ă©tĂ© formulĂ©e et, d'autre part, si l'infraction a Ă©tĂ© commise par un vĂ©hicule de plus de 20 mĂštres carrĂ©s dans une zone touristique ; - procĂšs-verbal de contravention outre les mentions prĂ©vues Ă  l'article A. 37-3, ce volet de couleur verte comporte au recto, sur la partie gauche, les informations obtenues par duplication du second volet dĂ©crit au paragraphe prĂ©cĂ©dent. Article A37-7 ArrĂȘtĂ© du 5 octobre 1999 art. 1 Journal Officiel du 7 novembre 1999 ArrĂȘtĂ© du 29 octobre 2003 art. 6 Journal Officiel du 29 octobre 2003 ArrĂȘtĂ© du 13 janvier 2004 art. 1 Journal Officiel du 17 janvier 2004 Dans le cas prĂ©vu par l'article R. 49-14, la consignation s'effectue par l'apposition, sur le formulaire de requĂȘte en exonĂ©ration, du timbre prĂ©vu au premier alinĂ©a de l'article R. 49-3. Lorsqu'il est fait application des dispositions de l'article 529-10, le contrevenant peut s'acquitter du paiement de la consignation soit par timbre-amende dans les conditions dĂ©finies Ă  l'alinĂ©a prĂ©cĂ©dent, soit par chĂšque libellĂ© Ă  l'ordre du TrĂ©sor public, soit par tĂ©lĂ©paiement. Dans le cas prĂ©vu par l'article R. 49-15, la consignation est acquittĂ©e soit par espĂšces, soit par chĂšque libellĂ© Ă  l'ordre du TrĂ©sor public, soit par carte bancaire auprĂšs du comptable du TrĂ©sor mentionnĂ© sur l'avis d'amende forfaitaire majorĂ©e. Ce dernier dĂ©livre alors au redevable une attestation du paiement de la consignation qui doit ĂȘtre jointe Ă  la rĂ©clamation adressĂ©e au ministĂšre public. Article A37-8 ArrĂȘtĂ© du 11 juillet 2003 art. 1 Journal Officiel du 12 juillet 2003 ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 6 Journal Officiel du 29 octobre 2003 ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 7 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Par dĂ©rogation aux articles A. 37-1, A. 37-2 et A. 37-4, lorsque les contraventions mentionnĂ©es Ă  l'article L. 121-3 du code de la route sont constatĂ©es sans interception du vĂ©hicule et Ă  l'aide d'un systĂšme de contrĂŽle automatisĂ© enregistrant les donnĂ©es en numĂ©rique, les mentions exigĂ©es par les articles A. 37-2 et A. 37-4 relatives Ă  l'avis de contravention figurent sur le recto et le verso d'un formulaire unique d'avis de contravention, de format 210 mm x 297 mm, de couleur verte, qui comprend en bas de page une partie dĂ©tachable, de format 100 mm x 186 mm, de couleur blanche intitulĂ©e "carte de paiement", sur laquelle sont reproduites au recto et au verso les mentions exigĂ©es par l'article A. 37-1. Article A37-9 insĂ©rĂ© par ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 7 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Par dĂ©rogation Ă  l'article A. 37-3, le procĂšs-verbal du formulaire d'avis de contravention prĂ©vu par l'article prĂ©cĂ©dent, lorsqu'il est dressĂ© conformĂ©ment aux dispositions de l'article 529-11, reproduit les mentions exigĂ©es par les articles A. 37-3 et le dernier alinĂ©a de l'article A. 37-4, dans un format 210 mm x 297 mm, et sur un support de couleur blanche. Article A37-10 insĂ©rĂ© par ArrĂȘtĂ© du 24 octobre 2003 art. 7 Journal Officiel du 29 octobre 2003 Les trois modĂšles de formulaires de la carte de paiement premier volet, de l'avis de contravention second volet et du procĂšs-verbal de contravention troisiĂšme volet, correspondant au document CERFA nÂș 11317*02 - CCTA rose fixĂ© par les articles A. 37-1, A. 37-2 et A. 37-3, au document CERFA nÂș 11316*02 - CCTA jaune fixĂ© par l'article A. 37-4 et au document CERFA nÂș 11318*02 - CCTA vert fixĂ© par l'article A. 37-6, et le formulaire unique d'avis de contravention, fixĂ© par l'article A. 37-8, correspondant au document CERFA nÂș 12291*01 - vert, ainsi que les fiches techniques d'impression affĂ©rents Ă  chacun de ces modĂšles peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le site internet lesofficiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints [], peuvent procĂ©der Ă  la visite des vĂ©hicules circulant ou
Lombard Baratelli Astolfe & associĂ©s vient d’obtenir une dĂ©cision de la Cour d’appel de Paris favorable Ă  la recherche des auteurs de dĂ©lits de presse commis sur internet. Le nouvel article 60-1-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale[1], issu d’une loi dont l’objet Ă©tait la lutte contre le harcĂšlement scolaire, est venu limiter aux dĂ©lits punis d’au moins un an d’emprisonnement l’accĂšs judiciaire aux donnĂ©es dĂ©tenues par les hĂ©bergeurs, excluant ainsi les dĂ©lits de diffamation et injure sur internet A peine de nullitĂ©, les rĂ©quisitions portant sur les donnĂ©es techniques permettant d’identifier la source de la connexion ou celles relatives aux Ă©quipements terminaux utilisĂ©s mentionnĂ©es au 3° du II bis de l’article L. 34-1 du code des postes et des communications Ă©lectroniques ou sur les donnĂ©es de trafic et de localisation mentionnĂ©es au III du mĂȘme article L. 34-1 ne sont possibles, si les nĂ©cessitĂ©s de la procĂ©dure l’exigent, que dans les cas suivants 1° La procĂ©dure porte sur un crime ou sur un dĂ©lit puni d’au moins trois ans d’emprisonnement ; 2° La procĂ©dure porte sur un dĂ©lit puni d’au moins un an d’emprisonnement commis par l’utilisation d’un rĂ©seau de communications Ă©lectroniques et ces rĂ©quisitions ont pour seul objet d’identifier l’auteur de l’infraction ; 3° Ces rĂ©quisitions concernent les Ă©quipements terminaux de la victime et interviennent Ă  la demande de celle-ci en cas de dĂ©lit puni d’une peine d’emprisonnement ; 4° Ces rĂ©quisitions tendent Ă  retrouver une personne disparue dans le cadre des procĂ©dures prĂ©vues aux articles 74-1 ou 80-4 du prĂ©sent code ou sont effectuĂ©es dans le cadre de la procĂ©dure prĂ©vue Ă  l’article 706-106-4. » Ce cavalier lĂ©gislatif fait suite, d’abord, Ă  la modification de l’article 34-1 du code des postes et des communications Ă©lectroniques[2], qui prĂ©voit dĂ©sormais la conservation des donnĂ©es techniques permettant d’identifier la source de la connexion ou celles relatives aux Ă©quipements terminaux utilisĂ©s » pour les seuls besoins de la lutte contre la criminalitĂ© et la dĂ©linquance grave, de la prĂ©vention des menaces graves contre la sĂ©curitĂ© publique et de la sauvegarde de la sĂ©curitĂ© nationale », puis Ă  la publication du dĂ©cret n° 2021-1362 du 20 octobre 2021, aux termes duquel les informations relatives Ă  l’identitĂ© du contributeur ne comprennent plus l’adresse IP[3]. Les praticiens craignaient que l’adoption de l’article 60-1-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale rende difficile l’identification auprĂšs des hĂ©bergeurs des auteurs de diffamation ou d’injure sur internet, souvent dissimulĂ©s derriĂšre des pseudonymes. La Cour d’appel vient toutefois d’apporter une rĂ©ponse rassurante en retenant, dans un arrĂȘt tout rĂ©cent non publiable Ă  ce jour, que l’article 60-1-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale ne fait pas obstacle Ă  l’identification des destinataires des services assurant le stockage de signaux, d’écrits, d’images, de sons ou de messages de toute nature fournis par ces destinataires, notamment l’identitĂ© de l’utilisateur du compte hĂ©bergĂ©, dans la mesure oĂč la communication requise dans le cadre de l’information judiciaire portant sur un dĂ©lit de presse se limitera aux donnĂ©es listĂ©es aux articles 2 et 3 du dĂ©cret n° 2021-1362 du 20 octobre 2021[4]. La Cour prĂ©cise Ă©galement que l’intention du lĂ©gislateur concernant l’article 60-1-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale Ă©tait en effet d’assurer une conciliation Ă©quilibrĂ©e entre, d’une part, le droit au respect Ă  la vie privĂ©e et, d’autre part, la recherche des auteurs d’infractions de harcĂšlement scolaire commis par le biais des rĂ©seaux sociaux, en prĂ©voyant de restreindre Ă  des cas spĂ©cifiquement listĂ©s dans le corps de ce texte, le recours aux rĂ©quisitions portant sur les donnĂ©es de connexion, sur les Ă©quipements terminaux utilisĂ©s, ainsi que sur les donnĂ©es de trafic et de localisation. Dans ces conditions, une rĂ©quisition de communiquer dĂ©livrĂ©e Ă  l’hĂ©bergeur peut valablement porter sur les donnĂ©es suivantes Les nom et prĂ©nom, la date et le lieu de naissance ou la raison sociale, ainsi que les nom et prĂ©nom, date et lieu de naissance de la personne agissant en son nom lorsque le compte est ouvert au nom d’une personne morale ; La ou les adresses postales associĂ©es ; La ou les adresses de courrier Ă©lectronique de l’utilisateur et du ou des comptes associĂ©s le cas Ă©chĂ©ant ; Le ou les numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone ; L’identifiant utilisĂ© ; Le ou les pseudonymes utilisĂ©s ; Les donnĂ©es destinĂ©es Ă  permettre Ă  l’utilisateur de vĂ©rifier son mot de passe ou de le modifier, le cas Ă©chĂ©ant par l’intermĂ©diaire d’un double systĂšme d’identification de l’utilisateur, dans leur derniĂšres version mise Ă  jour. Le nouvel article 60-1-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale ne viendra donc pas, en principe, totalement restreindre l’accĂšs au juge qui aurait naturellement Ă©tĂ© rendu plus complexe et moins effectif s’il Ă©tait devenu quasi impossible d’identifier les auteurs des infractions. En revanche, les praticiens du droit de la presse doivent rester vigilants Ă  ce que les magistrats instructeurs usent bien de tous les moyens et procĂ©dures dont ils disposent pour obtenir les informations permettant d’identifier les auteurs des propos diffamatoires ou injurieux demande d’entraide internationale, dĂ©cision d’enquĂȘte europĂ©enne. Un tel Ă©clairage sur la portĂ©e effective de ces dispositions est bienvenu pour les praticiens n’ayant pas eu jusqu’alors de rĂ©ponses aux questions qu’il se posaient. Pour mĂ©moire, on rappellera que le Conseil constitutionnel vient de dĂ©clarer conformes Ă  la Constitution les articles 60-1 et 60-2 du code procĂ©dure pĂ©nale qui permettent, dans le cadre d’une enquĂȘte de flagrance, de requĂ©rir des donnĂ©es de connexion sous le seul contrĂŽle, de la proportionnalitĂ© de la mesure, par le procureur de la RĂ©publique. La qualitĂ© de magistrat de l’ordre judiciaire du procureur ainsi que la briĂšvetĂ© d’une enquĂȘte de flagrance suffisent pour considĂ©rer que les dispositions contestĂ©es opĂšrent une conciliation Ă©quilibrĂ©e entre l’objectif de valeur constitutionnelle de recherche des auteurs d’infractions et le droit au respect de la vie privĂ©e. » Cons. Constitutionnel, 20 mai 2022, n° 2022-993 QPC, cons. 14. [1] Issu de l’article 12 de la loi n° 2022-299 du 2 mars 2022 visant Ă  combattre le harcĂšlement scolaire. [2] OpĂ©rĂ©e par l’article 17 de de la loi n°2021-998 du 30 juillet 2021. [3] L’adresse IP est une donnĂ©e technique aux termes de l’article 5 du dĂ©cret Les donnĂ©es techniques permettant d’identifier la source de la connexion ou celles relatives aux Ă©quipements terminaux utilisĂ©s, mentionnĂ©es au 3° du II bis de l’article L. 34-1 du code des postes et des communications Ă©lectroniques, que les personnes mentionnĂ©es Ă  l’article 1er sont tenues de conserver jusqu’à l’expiration d’un dĂ©lai d’un an Ă  compter de la connexion ou de l’utilisation des Ă©quipements terminaux, sont les suivantes 1° Pour les personnes mentionnĂ©es au 1 du I de l’article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisĂ©e et pour chaque connexion de leurs abonnĂ©s a L’identifiant de la connexion ; b L’identifiant attribuĂ© par ces personnes Ă  l’abonnĂ© ; c L’adresse IP attribuĂ©e Ă  la source de la connexion et le port associĂ© ; 2° Pour les personnes mentionnĂ©es au 2 du I de l’article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisĂ©e et pour chaque opĂ©ration de crĂ©ation d’un contenu telle que dĂ©finie Ă  l’article 6 a L’identifiant de la connexion Ă  l’origine de la communication ; b Les types de protocoles utilisĂ©s pour la connexion au service et pour le transfert des contenus. Le dĂ©lai mentionnĂ© au premier alinĂ©a du prĂ©sent article court Ă  compter du jour de la connexion ou de la crĂ©ation d’un contenu, pour chaque opĂ©ration contribuant Ă  cette crĂ©ation. » [4] C’est-Ă -dire les nom, prĂ©nom, date et lieu de naissance, adresses postales associĂ©es, adresse de courrier Ă©lectronique, numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone article 2 du dĂ©cret et l’identifiant utilisĂ©, le ou les pseudonymes utilisĂ©s, les donnĂ©es destinĂ©es Ă  permettre Ă  l’utilisateur de vĂ©rifier son mot de passe ou de le modifier, le cas Ă©chĂ©ant par l’intermĂ©diaire d’un double systĂšme d’identification de l’utilisateur, dans leur derniĂšre version mise Ă  jour article 3 du dĂ©cret.
Travaillantsous le contrĂŽle des magistrats, la police judiciaire est chargĂ©e de la mise en Ɠuvre concrĂšte de l’enquĂȘte dans la procĂ©dure pĂ©nale. Elle constitue Ă  ce titre l’un des principaux auxiliaires du juge. DerniĂšre modification : 16 mai 2021 Temps de lecture 2 minutes Imprimer; TĂ©lĂ©charger au format pdf
II. - Les modalitĂ©s de mise en oeuvre des dispositions prĂ©vues aux articles 78-2, alinĂ©a 4, du code de procĂ©dure pĂ©nale et 67 quater du code des douanes 1. L'application territoriale des dispositions lĂ©gales prĂ©citĂ©es Les dispositions de l'article 67 quater du code des douanes sont applicables dans les mĂȘmes zones que celles dĂ©finies Ă  l'article 78-2, alinĂ©a 4, du code de procĂ©dure pĂ©nale. Ces zones sont strictement dĂ©finies. Il s'agit - d'une part, " d'une zone comprise entre la frontiĂšre terrestre de la France avec les Etats parties Ă  la convention de Schengen et une ligne tracĂ©e Ă  20 kilomĂštres en deçà " ; - d'autre part, " des zones accessibles au public des ports, aĂ©roports et gares ferroviaires ou routiĂšres ouverts au trafic international et dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ© ". La zone des 20 kilomĂštres. Il s'agit d'une zone de 20 kilomĂštres calculĂ©e Ă  partir des frontiĂšres terrestres de la France et des frontiĂšres du Royaume de Belgique, du Grand-DuchĂ© de Luxembourg, de la RĂ©publique fĂ©dĂ©rale d'Allemagne et du Royaume d'Espagne. La ConfĂ©dĂ©ration helvĂ©tique, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord ainsi que les principautĂ©s de Monaco et d'Andorre n'Ă©tant pas parties aux accords de Schengen, nos frontiĂšres avec ces pays sont, en consĂ©quence, des frontiĂšres extĂ©rieures. L'Italie a signĂ© la convention mais ne peut actuellement assurer les contrĂŽles Ă  ses frontiĂšres. La frontiĂšre franco-italienne doit ĂȘtre, jusqu'Ă  instructions contraires, considĂ©rĂ©e comme une frontiĂšre extĂ©rieure. La ligne des 20 kilomĂštres est dĂ©finie non par simple translation de la frontiĂšre mais par rayon, en prenant l'ensemble des points situĂ©s Ă  moins de 20 kilomĂštres de l'un quelconque des points de la frontiĂšre. En raison de la dĂ©limitation par ce systĂšme de rayon, cette zone de 20 kilomĂštres s'Ă©tend nĂ©cessairement - aux confins de l'Allemagne, de la France et de la Suisse, jusque devant la frontiĂšre suisse ; - aux confins de l'Espagne, de la France et d'Andorre, jusque devant la frontiĂšre andorrane ; - aux confins de l'Italie, de la France et la Suisse et de la PrincipautĂ© de Monaco, jusque devant la frontiĂšre suisse et la frontiĂšre monĂ©gasque dĂšs que la frontiĂšre italienne aura le statut de frontiĂšre intĂ©rieure. En consĂ©quence, dans ces zones situĂ©es aux confins de frontiĂšres intĂ©rieures et de frontiĂšres extĂ©rieures, une mĂȘme personne pourra Ă  la fois faire l'objet d'un contrĂŽle Ă  la frontiĂšre extĂ©rieure et d'un des contrĂŽles d'identitĂ© ou de titre faisant l'objet de la prĂ©sente circulaire. Il conviendra, afin que les autoritĂ©s judiciaires puissent avoir une connaissance prĂ©cise de cette zone de 20 kilomĂštres, que les cartes, dĂšs qu'elles seront Ă©tablies, soient transmises Ă  chacun des procureurs de la RĂ©publique compĂ©tents. Les zones accessibles au public des ports, aĂ©roports et gares ferroviaires et routiĂšres ouverts au trafic international et dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ©. Un arrĂȘtĂ© interministĂ©riel en date du 23 mars 1995 Journal officiel du 25 mars 1995, p. 4804 et suivantes a fixĂ© la liste des lieux dĂ©finis aux articles 78-2 et 67 quater prĂ©citĂ©s. Pour que les opĂ©rations de contrĂŽle puissent s'y dĂ©rouler, ces lieux doivent Ă  la fois figurer dans la liste de l'arrĂȘtĂ© du 23 mars 1995 qui dĂ©signe les lieux ouverts au trafic international et constituer des zones accessibles au public. L'arrĂȘtĂ© en date du 23 mars 1995. En raison de l'existence de la zone de 20 kilomĂštres, les aĂ©roports et les gares routiĂšres ou ferroviaires qui y sont situĂ©s n'ont pas Ă©tĂ© retenus. En revanche, l'arrĂȘtĂ© vise tous les ports de commerce, l'ensemble des ports de voyageurs ainsi que les ports de plaisance les plus importants de la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne en raison du risque migratoire spĂ©cifique qu'ils reprĂ©sentent. Les aĂ©roports retenus sont ceux fixĂ©s par l'arrĂȘtĂ© du 10 dĂ©cembre 1979, modifiĂ© par les arrĂȘtĂ©s du 20 novembre 1991, du 17 janvier 1992 et du 4 janvier 1993, fixant la liste des aĂ©roports ouverts au trafic aĂ©rien international. Les articles L. 132-1 et D. 221-5 du code de l'aviation civile disposant que la liste des aĂ©roports ouverts au trafic aĂ©rien international doit ĂȘtre fixĂ©e par arrĂȘtĂ©, un certain nombre d'aĂ©roports mentionnĂ©s dans le manuel commun de contrĂŽle aux frontiĂšres extĂ©rieures n'ont pu figurer dans l'arrĂȘtĂ© du 23 mars 1995, aucun acte rĂ©glementaire ne les dĂ©signant Ă  ce jour comme internationaux. Pour certains aĂ©roports, outre les conditions juridiques rappelĂ©es ci-dessus, une difficultĂ© peut survenir lorsque l'ouverture au trafic international n'est pas permanente. Ainsi, certains aĂ©roports ne sont ouverts au trafic international qu'Ă  certaines Ă©poques de l'annĂ©e et Ă  certaines heures, d'autres ne le sont que sur demande de l'usager. Les contrĂŽles fondĂ©s sur le quatriĂšme alinĂ©a de l'article 78-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale et 67 quater du code des douanes ne peuvent s'exercer que durant ces pĂ©riodes d'ouverture. A dĂ©faut, il ne peut s'agir, si les conditions en sont rĂ©unies, que de contrĂŽles fondĂ©s sur les autres dispositions de l'article 78-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale. Enfin, sont dĂ©signĂ©es les gares ferroviaires dans lesquelles s'arrĂȘtent pour la premiĂšre fois des trains en provenance de l'Ă©tranger et les gares routiĂšres apparaissant comme des arrĂȘts quasi obligĂ©s pour des vĂ©hicules venant de l'Ă©tranger. Zones accessibles au public. S'agissant des aĂ©roports, les articles R. 213-2 et R. 213-4 du code de l'aviation civile prĂ©voient que l'emprise des aĂ©rodromes affectĂ©e Ă  l'aviation civile comprend une zone publique et une zone rĂ©servĂ©e dĂ©finies par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral. Les contrĂŽles d'identitĂ© et les contrĂŽles de titre peuvent ĂȘtre exercĂ©s dans cette zone publique, tant sur les parties librement accessibles au public que sur celles dont l'accĂšs est rĂ©glementĂ© au sens de l'article R. 213-3 du code prĂ©citĂ©. Il conviendra, pour avoir une connaissance prĂ©cise de cette zone, de se reporter Ă  l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral. Les contrĂŽles ne peuvent avoir lieu dans la zone rĂ©servĂ©e. Il convient, cependant, d'observer que la pĂ©nĂ©tration dans ce lieu, sans autorisation, est l'indice d'un comportement suspect qui justifierait un contrĂŽle d'identitĂ© opĂ©rĂ© sur le fondement de l'article 78-2, alinĂ©a 1, du code de procĂ©dure pĂ©nale. S'agissant des gares ferroviaires, les contrĂŽles d'identitĂ© et les contrĂŽles de titre peuvent ĂȘtre effectuĂ©s sur la totalitĂ© de l'emprise ferroviaire, dans les lieux dans lesquels le public est autorisĂ© Ă  pĂ©nĂ©trer, circuler ou stationner cours, parkings, salles des pas perdus, passages, salles d'attente, quais et trains. L'emprise ferroviaire est dĂ©finie, pour chaque gare, par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral selon l'arrĂȘtĂ© type en date du 29 juin 1977. Il convient, en consĂ©quence, de s'y reporter pour en connaĂźtre prĂ©cisĂ©ment Ă  chaque fois l'Ă©tendue. S'agissant des ports, les contrĂŽles d'identitĂ© et les contrĂŽles de titre peuvent ĂȘtre effectuĂ©s sur la totalitĂ© de l'emprise portuaire dĂ©finie par le prĂ©fet pour les ports maritimes relevant du domaine de l'Etat, par le prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral pour les ports relevant de la compĂ©tence des dĂ©partements et par le maire pour les ports relevant de la compĂ©tence des communes conformĂ©ment aux articles R. 151-1, R. 613-1 et R. 614-1 du code des ports maritimes. Les contrĂŽles ne peuvent avoir lieu dans les surfaces encloses dont l'accĂšs est rĂ©glementĂ©. Il convient, lĂ  encore, d'observer que la pĂ©nĂ©tration dans ce lieu, sans autorisation, est l'indice d'un comportement suspect qui justifierait un contrĂŽle d'identitĂ© opĂ©rĂ© sur le fondement de l'article 78-2, alinĂ©a 1, du code de procĂ©dure pĂ©nale. S'agissant des gares routiĂšres, le contrĂŽle a lieu dans l'ensemble des zones dans lequel le public est autorisĂ© Ă  sĂ©journer bĂątiments, quais, terminaux d'arrivĂ©e ou de dĂ©part... Bien Ă©videmment, la prĂ©sente instruction ne saurait constituer une exception au respect des dispositions du code de procĂ©dure pĂ©nale et du code des douanes relatives aux perquisitions et aux visites domiciliaires.

lesofficiers de police judiciaire, assistés, le cas échéant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnés aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21, peuvent

ARTICLE DU CODE PÉNAL, DÉFINITION DES ACTES DE TERRORISME Livre IV, Titre II Du terrorisme Article 421-1 Constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes 1° Les atteintes volontaires Ă  la vie, les atteintes volontaires Ă  l’intĂ©gritĂ© de la personne, l’enlĂšvement et la sĂ©questration ainsi que le dĂ©tournement d’aĂ©ronef, de navire ou de tout autre moyen de transport, dĂ©finis par le livre II du prĂ©sent code ; 2° Les vols, les extorsions, les destructions, dĂ©gradations et dĂ©tĂ©riorations, ainsi que les infractions en matiĂšre informatique dĂ©finis par le livre III du prĂ©sent code ; 3° Les infractions en matiĂšre de groupes de combat et de mouvements dissous dĂ©finies par les articles 431-13 Ă  431-17 et les infractions dĂ©finies par les articles 434-6 et 441-2 Ă  441-5 ; 4° Les infractions en matiĂšre d’armes, de produits explosifs ou de matiĂšres nuclĂ©aires dĂ©finies par le I de l’article L. 1333-9, les articles L. 1333-11 et L. 1333-13-2, le II des articles L. 1333-13-3 et L. 1333-13-4, les articles L. 1333-13-6, L. 2339-2, L. 2339-14, L. 2339-16, L. 2341-1, L. 2341-4, L. 2341-5, L. 2342-57 Ă  L. 2342-62, L. 2353-4, le 1° de l’article L. 2353-5 et l’article L. 2353-13 du code de la dĂ©fense, ainsi que les articles L. 317-4, L. 317-7 et L. 317-8 Ă  l’exception des armes de la 6e catĂ©gorie, du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ; 5° Le recel du produit de l’une des infractions prĂ©vues aux 1° Ă  4° ci-dessus ; 6° Les infractions de blanchiment prĂ©vues au chapitre IV du titre II du livre III du prĂ©sent code ; 7° Les dĂ©lits d’initiĂ© prĂ©vus Ă  l’article L. 465-1 du code monĂ©taire et financier. Article 421-2 Constitue Ă©galement un acte de terrorisme, lorsqu’il est intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, le fait d’introduire dans l’atmosphĂšre, sur le sol, dans le sous-sol, dans les aliments ou les composants alimentaires ou dans les eaux, y compris celles de la mer territoriale, une substance de nature Ă  mettre en pĂ©ril la santĂ© de l’homme ou des animaux ou le milieu naturel. Article 421-2-1 Constitue Ă©galement un acte de terrorisme le fait de participer Ă  un groupement formĂ© ou Ă  une entente Ă©tablie en vue de la prĂ©paration, caractĂ©risĂ©e par un ou plusieurs faits matĂ©riels, d’un des actes de terrorisme mentionnĂ©s aux articles prĂ©cĂ©dents. Article 421-2-2 Constitue Ă©galement un acte de terrorisme le fait de financer une entreprise terroriste en fournissant, en rĂ©unissant ou en gĂ©rant des fonds, des valeurs ou des biens quelconques ou en donnant des conseils Ă  cette fin, dans l’intention de voir ces fonds, valeurs ou biens utilisĂ©s ou en sachant qu’ils sont destinĂ©s Ă  ĂȘtre utilisĂ©s, en tout ou partie, en vue de commettre l’un quelconque des actes de terrorisme prĂ©vus au prĂ©sent chapitre, indĂ©pendamment de la survenance Ă©ventuelle d’un tel acte. Article 421-2-3 Le fait de ne pouvoir justifier de ressources correspondant Ă  son train de vie, tout en Ă©tant en relations habituelles avec une ou plusieurs personnes se livrant Ă  l’un ou plusieurs des actes visĂ©s aux articles 421-1 Ă  421-2-2, est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 Euros d’amende. Article 421-2-4 Le fait d’adresser Ă  une personne des offres ou des promesses, de lui proposer des dons, prĂ©sents ou avantages quelconques, de la menacer ou d’exercer sur elle des pressions afin qu’elle participe Ă  un groupement ou une entente prĂ©vu Ă  l’article 421-2-1 ou qu’elle commette un des actes de terrorisme mentionnĂ©s aux articles 421-1 et 421-2 est puni, mĂȘme lorsqu’il n’a pas Ă©tĂ© suivi d’effet, de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 € d’amende. Article 421-3 Le maximum de la peine privative de libertĂ© encourue pour les infractions mentionnĂ©es Ă  l’article 421-1 est relevĂ© ainsi qu’il suit lorsque ces infractions constituent des actes de terrorisme 1° Il est portĂ© Ă  la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ© lorsque l’infraction est punie de trente ans de rĂ©clusion criminelle ; 2° Il est portĂ© Ă  trente ans de rĂ©clusion criminelle lorsque l’infraction est punie de vingt ans de rĂ©clusion criminelle ; 3° Il est portĂ© Ă  vingt ans de rĂ©clusion criminelle lorsque l’infraction est punie de quinze ans de rĂ©clusion criminelle ; 4° Il est portĂ© Ă  quinze ans de rĂ©clusion criminelle lorsque l’infraction est punie de dix ans d’emprisonnement ; 5° Il est portĂ© Ă  dix ans d’emprisonnement lorsque l’infraction est punie de sept ans d’emprisonnement ; 6° Il est portĂ© Ă  sept ans d’emprisonnement lorsque l’infraction est punie de cinq ans d’emprisonnement ; 7° Il est portĂ© au double lorsque l’infraction est punie d’un emprisonnement de trois ans au plus. Les deux premiers alinĂ©as de l’article 132-23 relatif Ă  la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux crimes, ainsi qu’aux dĂ©lits punis de dix ans d’emprisonnement, prĂ©vus par le prĂ©sent article. Article 421-4 L’acte de terrorisme dĂ©fini Ă  l’article 421-2 est puni de vingt ans de rĂ©clusion criminelle et de 350000 euros d’amende. Lorsque cet acte a entraĂźnĂ© la mort d’une ou plusieurs personnes, il est puni de la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ© et de 750000 euros d’amende. Les deux premiers alinĂ©as de l’article 132-23 relatif Ă  la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables au crime prĂ©vu par le prĂ©sent article. Article 421-5 Les actes de terrorisme dĂ©finis aux articles 421-2-1 et 421-2-2 sont punis de dix ans d’emprisonnement et de 225000 euros d’amende. Le fait de diriger ou d’organiser le groupement ou l’entente dĂ©fini Ă  l’article 421-2-1 est puni de vingt ans de rĂ©clusion criminelle et de 500 000 Euros d’amende. La tentative du dĂ©lit dĂ©fini Ă  l’article 421-2-2 est punie des mĂȘmes peines. Les deux premiers alinĂ©as de l’article 132-23 relatif Ă  la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux infractions prĂ©vues par le prĂ©sent article. Article 421-6 Les peines sont portĂ©es Ă  vingt ans de rĂ©clusion criminelle et 350 000 euros d’amende lorsque le groupement ou l’entente dĂ©finie Ă  l’article 421-2-1 a pour objet la prĂ©paration 1° Soit d’un ou plusieurs crimes d’atteintes aux personnes visĂ©s au 1° de l’article 421-1 ; 2° Soit d’une ou plusieurs destructions par substances explosives ou incendiaires visĂ©es au 2° de l’article 421-1 et devant ĂȘtre rĂ©alisĂ©es dans des circonstances de temps ou de lieu susceptibles d’entraĂźner la mort d’une ou plusieurs personnes ; 3° Soit de l’acte de terrorisme dĂ©fini Ă  l’article 421-2 lorsqu’il est susceptible d’entraĂźner la mort d’une ou plusieurs personnes. Le fait de diriger ou d’organiser un tel groupement ou une telle entente est puni de trente ans de rĂ©clusion criminelle et 500 000 euros d’amende. Les deux premiers alinĂ©as de l’article 132-23 relatifs Ă  la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux crimes prĂ©vus par le prĂ©sent article. ARTICLES DU CODE DE PROCÉDURE PÉNALE Livre IV, Titre XV De la poursuite, de l’instruction et du jugement des actes de terrorisme Section 1 CompĂ©tence Article 706-16 Les actes de terrorisme incriminĂ©s par les articles 421-1 Ă  421-6 du code pĂ©nal, ainsi que les infractions connexes sont poursuivis, instruits et jugĂ©s selon les rĂšgles du prĂ©sent code sous rĂ©serve des dispositions du prĂ©sent titre. Ces dispositions sont Ă©galement applicables Ă  la poursuite, Ă  l’instruction et au jugement des actes de terrorisme commis Ă  l’étranger lorsque la loi française est applicable en vertu des dispositions de la section 2 du chapitre III du titre Ier du livre Ier du code pĂ©nal. Elles sont Ă©galement applicables Ă  la poursuite, Ă  l’instruction et au jugement des actes de terrorisme commis hors du territoire de la RĂ©publique par les membres des forces armĂ©es françaises ou Ă  l’encontre de celles-ci dans les cas prĂ©vus au chapitre Ier du titre II du livre Ier du code de justice militaire. Section 1 CompĂ©tence Article 706-17 Pour la poursuite, l’instruction et le jugement des infractions entrant dans le champ d’application de l’article 706-16, le procureur de la RĂ©publique, le juge d’instruction, le tribunal correctionnel et la cour d’assises de Paris exercent une compĂ©tence concurrente Ă  celle qui rĂ©sulte de l’application des articles 43, 52 et 382. En ce qui concerne les mineurs, le procureur de la RĂ©publique, le juge d’instruction, le juge des enfants, le tribunal pour enfants et la cour d’assises des mineurs de Paris exercent une compĂ©tence concurrente Ă  celle qui rĂ©sulte de l’application des dispositions de l’ordonnance n° 45-174 du 2 fĂ©vrier 1945 relative Ă  l’enfance dĂ©linquante. Lorsqu’ils sont compĂ©tents pour la poursuite et l’instruction des infractions entrant dans le champ d’application de l’article 706-16, le procureur de la RĂ©publique et le juge d’instruction de Paris exercent leurs attributions sur toute l’étendue du territoire national. L’instruction des actes de terrorisme dĂ©finis aux 5° Ă  7° de l’article 421-1 du code pĂ©nal et aux articles 421-2-2 et 421-2-3 du mĂȘme code peut ĂȘtre confiĂ©e, le cas Ă©chĂ©ant dans les conditions prĂ©vues Ă  l’article 83-1, Ă  un magistrat du tribunal de grande instance de Paris affectĂ© aux formations d’instruction spĂ©cialisĂ©es en matiĂšre Ă©conomique et financiĂšre en application des dispositions du dernier alinĂ©a de l’article 704. NOTA La prĂ©sente version de cet article est en vigueur jusqu’au 1er janvier 2014. Article 706-17-1 Pour le jugement des dĂ©lits et des crimes entrant dans le champ d’application de l’article 706-16, le premier prĂ©sident de la cour d’appel de Paris peut, sur les rĂ©quisitions du procureur gĂ©nĂ©ral, aprĂšs avis des chefs des tribunaux de grande instance intĂ©ressĂ©s, du bĂątonnier de Paris et, le cas Ă©chĂ©ant, du prĂ©sident de la cour d’assises de Paris, dĂ©cider que l’audience du tribunal correctionnel, de la chambre des appels correctionnels de Paris ou de la cour d’assises de Paris se tiendra, Ă  titre exceptionnel et pour des motifs de sĂ©curitĂ©, dans tout autre lieu du ressort de la cour d’appel que celui oĂč ces juridictions tiennent habituellement leurs audiences. L’ordonnance prise en application du prĂ©cĂ©dent alinĂ©a est portĂ©e Ă  la connaissance des tribunaux intĂ©ressĂ©s par les soins du procureur gĂ©nĂ©ral. Elle constitue une mesure d’administration judiciaire qui n’est pas susceptible de recours. Article 706-18 Le procureur de la RĂ©publique prĂšs un tribunal de grande instance autre que celui de Paris peut, pour les infractions entrant dans le champ d’application de l’article 706-16, requĂ©rir le juge d’instruction de se dessaisir au profit de la juridiction d’instruction de Paris. Les parties sont prĂ©alablement avisĂ©es et invitĂ©es Ă  faire connaĂźtre leurs observations par le juge d’instruction ; l’ordonnance est rendue huit jours au plus tĂŽt et un mois au plus tard Ă  compter de cet avis. L’ordonnance par laquelle le juge d’instruction se dessaisit ne prend effet qu’à compter du dĂ©lai de cinq jours prĂ©vu par l’article 706-22 ; lorsqu’un recours est exercĂ© en application de cet article, le juge d’instruction demeure saisi jusqu’à ce que l’arrĂȘt de la chambre criminelle de la Cour de cassation soit portĂ© Ă  sa connaissance. DĂšs que l’ordonnance est devenue dĂ©finitive, le procureur de la RĂ©publique adresse le dossier de la procĂ©dure au procureur de la RĂ©publique de Paris. Les dispositions du prĂ©sent article sont applicables devant la chambre de l’instruction. Article 706-19 Lorsqu’il apparaĂźt au juge d’instruction de Paris que les faits dont il a Ă©tĂ© saisi ne constituent pas une des infractions entrant dans le champ d’application de l’article 706-16 et ne relĂšvent pas de sa compĂ©tence Ă  un autre titre, ce magistrat se dĂ©clare incompĂ©tent, soit sur requĂȘte du procureur de la RĂ©publique, soit, aprĂšs avis de ce dernier, d’office ou sur requĂȘte des parties. Celles des parties qui n’ont pas prĂ©sentĂ© requĂȘte sont prĂ©alablement avisĂ©es et invitĂ©es Ă  faire connaĂźtre leurs observations ; l’ordonnance est rendue au plus tĂŽt huit jours aprĂšs cet avis. Les dispositions du deuxiĂšme alinĂ©a de l’article 706-18 sont applicables Ă  l’ordonnance par laquelle le juge d’instruction de Paris se dĂ©clare incompĂ©tent. DĂšs que l’ordonnance est devenue dĂ©finitive, le procureur de la RĂ©publique de Paris adresse le dossier de la procĂ©dure au procureur de la RĂ©publique territorialement compĂ©tent. Les dispositions du prĂ©sent article sont applicables lorsque la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris statue sur sa compĂ©tence. NOTA La prĂ©sente version de cet article est en vigueur jusqu’au 1er janvier 2014. Article 706-20 Lorsque le tribunal correctionnel ou le tribunal pour enfants de Paris se dĂ©clare incompĂ©tent pour les motifs prĂ©vus par l’article 706-19, il renvoie le ministĂšre public Ă  se pourvoir ainsi qu’il avisera ; il peut, le ministĂšre public entendu, dĂ©cerner, par la mĂȘme dĂ©cision, mandat de dĂ©pĂŽt ou d’arrĂȘt contre le prĂ©venu. Article 706-21 Dans les cas prĂ©vus par les articles 706-18 Ă  706-20, le mandat de dĂ©pĂŽt ou d’arrĂȘt conserve sa force exĂ©cutoire ; les actes de poursuite ou d’instruction et les formalitĂ©s intervenus avant que la dĂ©cision de dessaisissement ou d’incompĂ©tence soit devenue dĂ©finitive n’ont pas Ă  ĂȘtre renouvelĂ©s. Article 706-22 Toute ordonnance rendue sur le fondement de l’article 706-18 ou de l’article 706-19 par laquelle un juge d’instruction statue sur son dessaisissement ou le juge d’instruction de Paris statue sur sa compĂ©tence peut, Ă  l’exclusion de toute autre voie de recours, ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©e dans les cinq jours de sa notification, Ă  la requĂȘte du ministĂšre public, des parties, Ă  la chambre criminelle de la Cour de cassation qui dĂ©signe, dans les huit jours suivant la date de rĂ©ception du dossier, le juge d’instruction chargĂ© de poursuivre l’information. Le ministĂšre public peut Ă©galement saisir directement la chambre criminelle de la Cour de cassation lorsque le juge d’instruction n’a pas rendu son ordonnance dans le dĂ©lai d’un mois prĂ©vu au premier alinĂ©a de l’article 706-18. La chambre criminelle qui constate que le juge d’instruction du tribunal de grande instance de Paris n’est pas compĂ©tent peut nĂ©anmoins, dans l’intĂ©rĂȘt d’une bonne administration de la justice, dĂ©cider que l’information sera poursuivie Ă  ce tribunal. L’arrĂȘt de la chambre criminelle est portĂ© Ă  la connaissance du juge d’instruction ainsi qu’au ministĂšre public et signifiĂ© aux parties. Les dispositions du prĂ©sent article sont applicables Ă  l’arrĂȘt rendu sur le fondement du dernier alinĂ©a des articles 706-18 et 706-19 par lequel une chambre de l’instruction statue sur son dessaisissement ou sa compĂ©tence. NOTA La prĂ©sente version de cet article est en vigueur jusqu’au 1er janvier 2014. Article 706-22-1 Par dĂ©rogation aux dispositions de l’article 712-10, sont seuls compĂ©tents le juge de l’application des peines du tribunal de grande instance de Paris, le tribunal de l’application des peines de Paris et la chambre de l’application des peines de la cour d’appel de Paris pour prendre les dĂ©cisions concernant les personnes condamnĂ©es pour une infraction entrant dans le champ d’application de l’article 706-16, quel que soit le lieu de dĂ©tention ou de rĂ©sidence du condamnĂ©. Ces dĂ©cisions sont prises aprĂšs avis du juge de l’application des peines compĂ©tent en application de l’article 712-10. Pour l’exercice de leurs attributions, les magistrats des juridictions mentionnĂ©es au premier alinĂ©a peuvent se dĂ©placer sur l’ensemble du territoire national, sans prĂ©judice de l’application des dispositions de l’article 706-71 sur l’utilisation de moyens de tĂ©lĂ©communication. Section 2 ProcĂ©dure Article 706-24 Les officiers et agents de police judiciaire, affectĂ©s dans les services de police judiciaire spĂ©cialement chargĂ©s de la lutte contre le terrorisme, peuvent ĂȘtre nominativement autorisĂ©s par le procureur gĂ©nĂ©ral prĂšs la cour d’appel de Paris Ă  procĂ©der aux investigations relatives aux infractions entrant dans le champ d’application de l’article 706-16, en s’identifiant par leur numĂ©ro d’immatriculation administrative. Ils peuvent ĂȘtre autorisĂ©s Ă  dĂ©poser ou Ă  comparaĂźtre comme tĂ©moins sous ce mĂȘme numĂ©ro. L’état civil des officiers et agents de police judiciaire visĂ©s au premier alinĂ©a ne peut ĂȘtre communiquĂ© que sur dĂ©cision du procureur gĂ©nĂ©ral prĂšs la cour d’appel de Paris. Il est Ă©galement communiquĂ©, Ă  sa demande, au prĂ©sident de la juridiction de jugement saisie des faits. Les dispositions de l’article 706-84 sont applicables en cas de rĂ©vĂ©lation de l’identitĂ© de ces officiers ou agents de police judiciaire, hors les cas prĂ©vus Ă  l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent. Aucune condamnation ne peut ĂȘtre prononcĂ©e sur le seul fondement d’actes de procĂ©dure effectuĂ©s par des enquĂȘteurs ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© des dispositions du prĂ©sent article et dont l’état civil n’aurait pas Ă©tĂ© communiquĂ©, Ă  sa demande, au prĂ©sident de la juridiction saisie des faits. Les modalitĂ©s d’application du prĂ©sent article sont, en tant que de besoin, prĂ©cisĂ©es par dĂ©cret en Conseil d’Etat. Article 706-24-3 Pour l’instruction du dĂ©lit d’association de malfaiteurs prĂ©vu par l’article 421-5 du code pĂ©nal, la durĂ©e totale de la dĂ©tention provisoire prĂ©vue par le deuxiĂšme alinĂ©a de l’article 145-1 est portĂ©e Ă  trois ans. Article 706-25 Pour le jugement des accusĂ©s majeurs, les rĂšgles relatives Ă  la composition et au fonctionnement de la cour d’assises sont fixĂ©es par les dispositions de l’article 698-6. Pour le jugement des accusĂ©s mineurs ĂągĂ©s de seize ans au moins, les rĂšgles relatives Ă  la composition et au fonctionnement de la cour d’assises des mineurs sont Ă©galement fixĂ©es par ces dispositions, deux des assesseurs Ă©tant pris parmi les juges des enfants du ressort de la cour d’appel, conformĂ©ment aux dispositions de l’article 20 de l’ordonnance n° 45-174 du 2 fĂ©vrier 1945 relative Ă  l’enfance dĂ©linquante, dont les huitiĂšme Ă  seiziĂšme alinĂ©as sont applicables. Pour l’application de l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent, le juge d’instruction ou la chambre de l’instruction qui prononce la mise en accusation constate que les faits entrent dans le champ d’application de l’article 706-16. Article 706-25-1 L’action publique des crimes mentionnĂ©s Ă  l’article 706-16 se prescrit par trente ans. La peine prononcĂ©e en cas de condamnation pour l’un de ces crimes se prescrit par trente ans Ă  compter de la date Ă  laquelle la condamnation est devenue dĂ©finitive. L’action publique relative aux dĂ©lits mentionnĂ©s Ă  l’article 706-16 se prescrit par vingt ans. La peine prononcĂ©e en cas de condamnation pour ces dĂ©lits se prescrit par vingt ans Ă  compter de la date Ă  laquelle la condamnation est devenue dĂ©finitive. Article 706-25-2 Dans le but de constater les infractions mentionnĂ©es au sixiĂšme alinĂ©a de l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la libertĂ© de la presse et lorsque celles-ci sont commises par un moyen de communication Ă©lectronique, d’en rassembler les preuves et d’en rechercher les auteurs, les officiers ou agents de police judiciaire agissant au cours de l’enquĂȘte ou sur commission rogatoire peuvent, s’ils sont affectĂ©s dans un service spĂ©cialisĂ© dĂ©signĂ© par arrĂȘtĂ© du ministre de l’intĂ©rieur et spĂ©cialement habilitĂ©s Ă  cette fin, procĂ©der aux actes suivants sans en ĂȘtre pĂ©nalement responsables 1° Participer sous un pseudonyme aux Ă©changes Ă©lectroniques ; 2° Etre en contact par ce moyen avec les personnes susceptibles d’ĂȘtre les auteurs de ces infractions ; 3° Extraire, acquĂ©rir ou conserver par ce moyen les Ă©lĂ©ments de preuve et les donnĂ©es sur les personnes susceptibles d’ĂȘtre les auteurs de ces infractions. A peine de nullitĂ©, ces actes ne peuvent constituer une incitation Ă  commettre ces infractions. Post Views 37 019
Codede procĂ©dure pĂ©nale. PREMIÈRE PARTIE - LÉGISLATIVE (Art. prĂ©liminaire - Art. 937) Art. prĂ©liminaire. TITRE PRÉLIMINAIRE - DISPOSITIONS GÉNÉRALES (L. n o 2011-939 du 10 aoĂ»t ContrĂŽle d’identitĂ© En vertu de l’article 78-1 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, toute personne se trouvant sur le territoire national doit accepter de se soumettre Ă  un contrĂŽle d’identitĂ© art 78 CPP effectuĂ© dans certaines conditions par les autoritĂ©s de police. I – Les diffĂ©rents contrĂŽles d’identitĂ© On distingue d’abord, les contrĂŽles d’identitĂ© de police judiciaire et ensuite, les contrĂŽles d’identitĂ© de police administrative. Ces contrĂŽles d’identitĂ© doivent toujours ĂȘtre effectuĂ©s par des officiers de police judiciaire ou bien des agents de police judiciaire. Dans tous les cas, l’identitĂ© doit ĂȘtre Ă©tablie par un document officiel Ă©manant Ă©videmment, d’une administration publique portant surtout, une photo d’identitĂ© et non falsifiĂ©. A. — PremiĂšrement, les contrĂŽles d’identitĂ© de police judiciaire Selon l’article 78-2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, il existe cinq cas de contrĂŽles d’identitĂ© de police judiciaire. Il s’agit des hypothĂšses oĂč il y a une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner que l’intĂ©ressĂ© — premiĂšrement, a commis ou tentĂ© de commettre une infraction — deuxiĂšmement, se prĂ©pare Ă  commettre un crime ou un dĂ©lit — troisiĂšmement, est susceptible de fournir des renseignements utiles Ă  une enquĂȘte sur un crime ou un dĂ©lit — peut-ĂȘtre a violĂ© les obligations ou interdictions auxquelles il est soumis dans le cadre d’un contrĂŽle judiciaire, d’une mesure d’assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique, d’une peine ou d’une mesure d’assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique, d’une peine ou d’une mesure suivie par le juge de l’application des peines — enfin, fait l’objet de recherches ordonnĂ©es par l’autoritĂ© judiciaire. B. — DeuxiĂšmement, les contrĂŽles d’identitĂ© de police administrative ContrĂŽle d’identitĂ© Parmi les contrĂŽles d’identitĂ© de police administrative, on trouve les contrĂŽles d’identitĂ© isolĂ©s et les contrĂŽles d’identitĂ© combinĂ©s. a. Les contrĂŽles d’identitĂ© isolĂ©s le contrĂŽle d’identitĂ© Il existe trois contrĂŽles d’identitĂ© de police administrative – PremiĂšrement, le contrĂŽle d’identitĂ© de toute personne, quel que soit son comportement, pour prĂ©venir une atteinte Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens Article 78-2 alinĂ©a 8 CPP. La jurisprudence exige que ce contrĂŽle soit justifiĂ© dans un procĂšs-verbal faisant rĂ©fĂ©rence aux circonstances concrĂštes qui ont caractĂ©risĂ© un risque d’atteinte Ă  l’ordre public. – DeuxiĂšmement, Le contrĂŽle d’identitĂ© sur rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique pour la recherche et la poursuite d’infractions qu’il prĂ©cise. Dans cette hypothĂšse, la police peut contrĂŽler l’identitĂ© de toute personne dans des lieux et pour la pĂ©riode de temps prĂ©cisĂ©s par le procureur de la RĂ©publique Article 78-2 alinĂ©a 7 CPP. – TroisiĂšmement, les contrĂŽles d’identitĂ© aux frontiĂšres des États signataires de l’accord Schengen de 1985 pour la recherche ou la prĂ©vention d’infractions liĂ©es Ă  la criminalitĂ© organisĂ©e. Ces contrĂŽles sont mis en Ɠuvre dans une zone comprise dans un rayon de 20km autour de la frontiĂšre, ainsi que dans les zones portuaires, aĂ©roportuaires, les gares ferroviaires ou routiĂšres ouvertes au trafic international. Article 78-2 alinĂ©a 8 et 9 CPP. B. Les contrĂŽles d’identitĂ© combinĂ©s Le contrĂŽle d’identitĂ© Les lois du 22 mars 2016 et du 3 juin 2016 ont facilitĂ© les opĂ©rations de contrĂŽles des conducteurs de vĂ©hicules et des dĂ©tenteurs de bagages. Cela permet d’effectuer des contrĂŽles d’identitĂ© combinĂ©s dans deux hypothĂšses ** Les contrĂŽles d’identitĂ© combinĂ©s de fouille de vĂ©hicule et/ou d’inspection de bagages sur rĂ©quisitions Article 78-2-2 CPP. A cette fin, deux conditions cumulatives doivent exister 1 D’abord, l’existence de rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps qu’il prĂ©cise et qui ne peut excĂ©der 24 heures ; 2 Puis, les opĂ©rations doivent avoir pour but la recherche et la poursuite d’infractions limitativement Ă©numĂ©rĂ©es terrorisme, les infractions relatives aux armes, le trafic de stupĂ©fiants
. ** Les contrĂŽles d’identitĂ© combinĂ©s de fouille de vĂ©hicule et/ ou inspections de bagages hors rĂ©quisitions Article 78-2-4 CPP Ils peuvent ĂȘtre mis en Ɠuvre si deux conditions sont cumulativement remplies 1 en premier lieu, ils doivent avoir pour but de prĂ©venir une atteinte grave Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens ; 2 en deuxiĂšme lieu, ils doivent ĂȘtre effectuĂ©s par des officiers de police judiciaire et sous leur responsabilitĂ©, les agents de police judiciaire et les agents de police judiciaire adjoints. II – Les suites des contrĂŽles d’identitĂ© La personne qui n’est pas en mesure ou qui refuse d’établir son identitĂ© lors de son contrĂŽle est susceptibles de faire l’objet — soit d’une part, d’une vĂ©rification d’identitĂ©, — soit d’autre part, d’une retenue pour pour vĂ©rification de la situation administrative. A. — La vĂ©rification d’identitĂ© Selon l’article 78-3 du Code de procĂ©dure pĂ©nale si la personne refuse ou se trouve dans l’impossibilitĂ© de justifier de son identitĂ©, elle peut, en cas de nĂ©cessitĂ©, se voir retenue sur place ou dans le local de police oĂč elle se trouve conduite aux fins de vĂ©rification de son identitĂ©. La personne se prĂ©sente immĂ©diatement Ă  un officier de police judiciaire qui la met en mesure de fournir son identitĂ© par tous moyens et qui l’informe de son droit d’informer le procureur de la RĂ©publique de la vĂ©rification dont elle fait l’objet, ainsi que de faire prĂ©venir sa famille. Cette rĂ©tention ne peut pas durer plus de 4 heures. Dans le cas oĂč l’intĂ©ressĂ© refuse de fournir son identitĂ© ou s’il fournit de faux renseignements, on procĂ©dera Ă  la prise d’empreintes digitales et de photographies aprĂšs accord du procureur de la RĂ©publique. Le refus de se prĂȘter Ă  ces opĂ©rations constitue un dĂ©lit puni de trois mois d’emprisonnement. B. — La retenue pour vĂ©rification de la situation administrative ContrĂŽle d’identitĂ© La loi du 3 juin 2016 a créé une nouvelle mesure de rĂ©tention selon laquelle toute personne faisant l’objet d’un contrĂŽle ou d’une vĂ©rification d’identitĂ© peut, lorsque ce contrĂŽle rĂ©vĂšle qu’il existe des raisons sĂ©rieuses de penser que son comportement peut ĂȘtre liĂ© Ă  des activitĂ©s Ă  caractĂšre terroriste, faire l’objet d’une retenue sur place ou dans le local de police oĂč elle est conduite Article 78-3-1 CPP. Lors de cette rĂ©tention, l’officier de police judiciaire procĂšde Ă  une vĂ©rification de la situation de la personne en consultant les traitements automatisĂ©s de donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel et peut le cas Ă©chĂ©ant interroger les services Ă  l’origine du signalement de l’intĂ©ressĂ© ainsi que les organismes de coopĂ©ration internationale en matiĂšre de police judiciaire ou des services de police Ă©trangers. Cette rĂ©tention ne peut pas excĂ©der 4 heures Ă  compter du dĂ©but du contrĂŽle effectuĂ©. Avocat droit pĂ©nal se chargera de la dĂ©fense des problĂšmes liĂ©s ce contrĂŽle. III. — Contacter un avocat ContrĂŽle d’identitĂ© Pour votre dĂ©fense Avocat contrĂŽle d’identitĂ©* avocat spĂ©cialiste contrĂŽle d’identitĂ©* cabinet d’avocat spĂ©cialisĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* avocat spĂ©cialisĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* spĂ©cialiste contrĂŽle d’identitĂ©* spĂ©cialisĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* avocat pour affaire de contrĂŽle d’identitĂ©* spĂ©cialiste affaire contrĂŽle d’identitĂ©* meilleur avocat pour contrĂŽle d’identitĂ©* avocat pĂ©naliste contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle aprĂšs coup avocat spĂ©cialiste droit pĂ©nal paris contrĂŽle d’identitĂ©* cpp contrĂŽle d’identitĂ© aire un contrĂŽle contrĂŽle illĂ©gal contrĂŽle administratif refuser un contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* abusif contrĂŽle des Ă©trangers peut-on refuser un contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 contrĂŽle d’identitĂ©* article proces verbal contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle article 78-2 alinĂ©a pĂ©naliste cĂ©lĂšbre contrĂŽle 78-2 alinĂ©a 8 contrĂŽle d’identitĂ© plan Vigipirate contrĂŽle contrĂŽle 78-2 alinĂ©a 1 contrĂŽle d’identitĂ©* aĂ©roport motif de contrĂŽle condition de contrĂŽle droit de contrĂŽle contrĂŽle d’identitĂ©* Ă  l’aĂ©roport refuser un contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle garde Ă  vue contrĂŽle Ă  domicile relevĂ© et contrĂŽle contrĂŽle d’identitĂ©* but avocat pĂ©nal paris contrĂŽle biomĂ©trique contrĂŽle d’identitĂ© police municipale et contrĂŽle contrĂŽle et contravention contrĂŽle discriminatoire avocat et contrĂŽle contrĂŽle et droit meilleur avocat droit pĂ©nal contrĂŽle dans la rue contrĂŽle d’identitĂ© spĂ©cialisĂ© contrĂŽle contrĂŽle des douanes contrĂŽle et fouille pĂ©naliste contrĂŽle contrĂŽle et vĂ©rification contrĂŽle d’identitĂ©* et Ă©tat d’urgence Ă  quoi sert un contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* but contrĂŽle d’identitĂ©* cessera amende sans contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* code de procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* code pĂ©nal article 434-23 du code pĂ©nal usurpation d’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* clandestin article code de procĂ©dure pĂ©nale perquisition contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a 9 contrĂŽle d’identitĂ©* au domicile article code pĂ©nal usurpation d’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a 7 contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a 8 au contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a 2 meilleur avocat pĂ©nal contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a 3 avocat avec casier judiciaire article code procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 alinĂ©a 1 article code procĂ©dure pĂ©nale vĂ©rification d’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-1 contrĂŽle d’identitĂ©* article 78-2 article contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* article 78 contrĂŽle d’identitĂ©* article 78 2 alinĂ©a article contrĂŽle d’identitĂ©* alinĂ©a contrĂŽle d’identitĂ©* adja contrĂŽle d’identitĂ©* article article contrĂŽle identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* agent de police judiciaire contrĂŽle d’identitĂ©* alĂ©atoire article contrĂŽle identitĂ© espace Schengen contrĂŽle d’identitĂ©* administratif meilleur avocat pĂ©naliste contrĂŽle d’identitĂ©* aĂ©roport contrĂŽle d’identitĂ© article cpp contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* Ă  domicile contrĂŽle d’identitĂ©* abusif article de loi contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle de police administrative contrĂŽle d’identitĂ©* article du contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’accĂšs biomĂ©trique contrĂŽle d’accĂšs biomĂ©trique Cnil article loi usurpation d’identitĂ© contrĂŽle carte d’identitĂ© boite de nuit contrĂŽle carte identitĂ© aĂ©roport article usurpation d’identitĂ© article vĂ©rification d’identitĂ© contrĂŽle biomĂ©trique contrĂŽle carte d’identitĂ© aĂ©roport articles contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* au facies avocat comment dĂ©fendre son client avocat contentieux Urssaf contrĂŽle d’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* avec le pas sanitaire avocat pĂ©naliste Ă  paris contrĂŽle d’identitĂ©* biomĂ©trique avocat contrĂŽle d’identitĂ©* avocat contrĂŽle fiscal contrĂŽle d’identitĂ©* code procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* combien de temps avocat contrĂŽle Urssaf avocat pour contravention contrĂŽle d’identitĂ©* commerce avocat contrĂŽle d’identitĂ©* avocat contrĂŽle fiscal contrĂŽle d’identitĂ©* conditions contrĂŽle d’identitĂ©* conseil constitutionnel avocat contrĂŽle fiscal paris banque sans vĂ©rification d’identitĂ© carte d’identitĂ© aĂ©roport carte d’identitĂ© aĂ©roport GenĂšve cas pratique corrigĂ© procĂ©dure pĂ©nale cas pratique droit pĂ©nal infraction non intentionnelle carte d’identitĂ© biomĂ©trique c’est quoi cas pratique a contrĂŽle d’identitĂ© ction civile cas pratique action publique contrĂŽle d’identitĂ©* contravention contrĂŽle d’identitĂ©* covid cas pratique en procĂ©dure pĂ©nale cas pratique enquĂȘte prĂ©liminaire contrĂŽle d’identitĂ©* discriminatoire contrĂŽle d’identitĂ©* douane cas pratique procĂ©dure civile action en justice cas pratique procĂ©dure civile d’exĂ©cution contrĂŽle d’identitĂ©* des visiteurs contrĂŽle d’identitĂ©* d’initiative cas pratique procĂ©dure pĂ©nale cas pratique procĂ©dure pĂ©nale action civile contrĂŽle d’identitĂ©* dĂ©finition contrĂŽle d’identitĂ©* des Ă©trangers cas pratique procĂ©dure pĂ©nale action publique comment contrĂŽler une piĂšce d’identitĂ© condition contrĂŽle d’identitĂ©* cas pratique procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* code pĂ©nal usurpation identitĂ© comme avocat contrĂŽle d’identitĂ© cas pratique procĂ©dure pĂ©nale enquĂȘte cas pratique procĂ©dure pĂ©nale garde Ă  vue code pĂ©nal contrĂŽle d’identitĂ©* code pĂ©nal usurpation d’identitĂ© cas pratique procĂ©dure pĂ©nale instruction cas pratique procĂ©dure pĂ©nale mĂ©thode code de procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle judiciaire code de procĂ©dure pĂ©nale vĂ©rification d’identitĂ© cas pratique procĂ©dure pĂ©nale perquisition cas pratique procĂ©dure pĂ©nale prescription conditions contrĂŽle d’identitĂ©* conditions palpation de sĂ©curitĂ© contravention contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* enquĂȘte de flagrance contrĂŽle d’identitĂ©* espace Schengen article pour contrĂŽle d’identitĂ©* pourquoi consulter un avocat contrĂŽle d’identitĂ©* nullitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* opj pourquoi contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* mineur meilleur pĂ©naliste de paris contrĂŽle d’identitĂ©* motif contrĂŽle d’identitĂ© pourquoi devenir avocat d’affaires contrĂŽle d’identitĂ©* lieu contrĂŽle d’identitĂ©* loi pourquoi un avocat contrĂŽle d’identitĂ©* libertĂ©s fondamentales contrĂŽle d’identitĂ©* manifestation pourquoi un contrĂŽle judiciaire contrĂŽle d’identitĂ©* LĂ©gifrance contrĂŽle d’identitĂ©* lap prescription infraction continue contrĂŽle d’identitĂ©* illĂ©gal contrĂŽle d’identitĂ©* judiciaire et administratif procĂ©dure de contrĂŽle d’identitĂ©* QR code contrĂŽle d’identitĂ©* quand consulter un avocat contrĂŽle d’identitĂ©* gare internationale contrĂŽle d’identitĂ©* gendarmerie quand un avocat est-il obligatoire quel avocat choisir contrĂŽle d’identitĂ©* garde Ă  vue pĂ©naliste renommĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* gare contrĂŽle d’identitĂ© quel avocat pour usurpation d’identitĂ© quelle infraction casier judiciaire contrĂŽle d’identitĂ©* France contrĂŽle d’identitĂ©* frontiĂšre espagnole qu’est-ce que un avocat qu’est-ce qu’un avocat d’affaire contrĂŽle d’identitĂ©* flibuste contrĂŽle d’identitĂ©* fouille qu’est-ce qu’un contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* ferry corse contrĂŽle d’identitĂ©* film qu’est-ce qu’une enquĂȘte de flagrance contrĂŽle d’identitĂ©* Facebook contrĂŽle d’identitĂ©* femme qui a le droit de contrĂŽler l’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* et pas vaccinal contrĂŽle d’identitĂ©* Ă©tranger qui a le droit de faire un contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* et palpation de sĂ©curitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* et pas sanitaire qui contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ© qui peut contrĂŽler l’identitĂ© d’une personne vĂ©rification carte d’identitĂ© nationale vĂ©rification d’identitĂ© 78-3 contrĂŽle d’identitĂ©* procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* que dit la loi vĂ©rification d’identitĂ© article vĂ©rification d’identitĂ© finance contrĂŽle d’identitĂ©* pour un mineur contrĂŽle d’identitĂ©* prĂ©ventif vĂ©rification d’identitĂ© code de procĂ©dure pĂ©nale vĂ©rification d’identitĂ© code procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* police municipale contrĂŽle d’identitĂ©* police nationale vĂ©rification d’identitĂ© cpp vĂ©rification d’identitĂ© en ligne contrĂŽle d’identitĂ©* police administrative contrĂŽle d’identitĂ©* police judiciaire vĂ©rification d’identitĂ© gendarmerie vĂ©rification d’identitĂ© le bon coin contrĂŽle d’identitĂ©* permis de conduire avocat droit pĂ©nal des affaires contrĂŽle d’identitĂ©* police contrĂŽle d’identitĂ© vĂ©rification d’identitĂ© leboncoin vĂ©rification d’identitĂ© LĂ©gifrance contrĂŽle d’identitĂ©* pas vaccinal contrĂŽle d’identitĂ©* pĂ©nal vĂ©rification d’identitĂ© modelĂ© vĂ©rification 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transport fuite contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ© gendarmerie contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* tribunal contrĂŽle d’identitĂ©* Vigipirate exemple de cas pratique corrigĂ© procĂ©dure pĂ©nale flibuste contrĂŽle identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* vĂźntes contrĂŽle d’identitĂ©* voie publique enquĂȘte de flagrance contravention enquĂȘte de flagrance et enquĂȘte prĂ©liminaire contrĂŽle d’identitĂ©* vos droits droit lors d’un contrĂŽle d’identitĂ©* enquĂȘte de flagrance conditions contrĂŽle d’identitĂ©* WikipĂ©dia contrĂŽle d’identitĂ©* zone Schengen droit contrĂŽle routier droit de contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle douane flibuste contrĂŽle identitĂ© abusif droit contrĂŽle de police droit contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle identitĂ© permis de conduire contrĂŽle identitĂ© police administrative avocat cabinet spĂ©cialisĂ© droit pĂ©nal contrĂŽle d’identitĂ© diffĂ©rence entre contrĂŽle et relevĂ© d’identitĂ© diffĂ©rence entre contrĂŽle et vĂ©rification d’identitĂ© contrĂŽle judiciaire aĂ©roport contrĂŽle numĂ©ro carte d’identitĂ© dĂ©finition contrĂŽle d’identitĂ©* diffĂ©rence entre contrĂŽle d’identitĂ©* et relevĂ© d’identitĂ© contrĂŽle police flibuste contrĂŽle sans piĂšce d’identitĂ© cpp contrĂŽle d’identitĂ©* dĂ©fenseur des droits contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle sur l’identitĂ© 5eme contrĂŽle technique avec fiche d’identification cpp contrĂŽle d’identitĂ©* dĂ©fenseur des droits contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle usurpation d’identitĂ© contrĂŽles d’identitĂ© objectifs justification contrĂŽle d’identitĂ©* la question de l’identitĂ© le contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* dans un lieu privĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* de police administrative le contrĂŽle d’identitĂ©* article contrĂŽle d’identitĂ© le contrĂŽle judiciaire procĂ©dure pĂ©nale contrĂŽle d’identitĂ©* dans les gares contrĂŽle d’identitĂ©* dans les trains les contrĂŽles d’identitĂ© loi contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* cpp loi de contrĂŽle d’identitĂ©* motif de contrĂŽle d’identitĂ©* natinf vĂ©rification d’identitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* dans la rue contrĂŽle d’identitĂ©* dans les aĂ©roports non contrĂŽle d’identitĂ©* nullitĂ© contrĂŽle alcoolĂ©mie nullitĂ© contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* en entreprise contrĂŽle d’identitĂ©* en France nullitĂ© d’un contrĂŽle d’identitĂ©* numĂ©ro d’identitĂ© permis de conduire palpation contrĂŽle d’identitĂ©* pas de contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ© pas sanitaire sans contrĂŽle d’identitĂ©* permis de conduire contrĂŽle d’identitĂ©* plus de contrĂŽle d’identitĂ©* rĂ©cĂ©pissĂ© de contrĂŽle d’identitĂ©* refus de contrĂŽle d’identitĂ©* refuser un contrĂŽle d’identitĂ©* rĂšgles contrĂŽle d’identitĂ©* contrĂŽle d’identitĂ©* droit contrĂŽle d’identitĂ©* droit pĂ©nal rĂšgles contrĂŽle technique relevĂ© d’identitĂ© et contrĂŽle d’identitĂ©* rĂ©tention pour vĂ©rification d’identitĂ© retenue pour vĂ©rification d’identitĂ© rĂȘver de contrĂŽle d’identitĂ©* sans avocat un contrĂŽle d’identitĂ©* vote contrĂŽle d’identitĂ©* zone de non contrĂŽle d’identitĂ©* zone sans contrĂŽle d’identitĂ©* Ă  cause de cela, contrĂŽle d’identitĂ© Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, contrĂŽle d’identitĂ© c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, contrĂŽle d’identitĂ© De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, contrĂŽle d’identitĂ© En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, contrĂŽle d’identitĂ© MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, contrĂŽle d’identitĂ© Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, contrĂŽle d’identitĂ© troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, contrĂŽle d’identitĂ© Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, contrĂŽle d’identitĂ© c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, contrĂŽle d’identitĂ© De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, contrĂŽle d’identitĂ© En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, contrĂŽle d’identitĂ© MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, contrĂŽle d’identitĂ© Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, contrĂŽle d’identitĂ© Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, contrĂŽle d’identitĂ© c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, contrĂŽle d’identitĂ© De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, contrĂŽle d’identitĂ© En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, contrĂŽle d’identitĂ© MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, contrĂŽle d’identitĂ© Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, du cabinet Aci assurera efficacement votre dĂ©fense. Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au tĂ©lĂ©phone ou bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre dĂ©fense durant la phase d’enquĂȘte garde Ă  vue ; d’instruction juge d’instruction, chambre de l’instruction ; devant la chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire aprĂšs le procĂšs, auprĂšs de l’administration pĂ©nitentiaire par exemple. IV. — Les domaines d’intervention du cabinet Aci Cabinet d’avocats pĂ©nalistes parisiens D’abord, Adresse 55, rue de Turbigo 75003 PARIS Puis, TĂ©l Ensuite, Fax Engagement, E-mail contact Enfin, CatĂ©gories PremiĂšrement, LE CABINET En premier lieu, RĂŽle de l’avocat pĂ©naliste contrĂŽle d’identitĂ© En somme, Droit pĂ©nal contrĂŽle d’identitĂ© Tout d’abord, pĂ©nal gĂ©nĂ©ral contrĂŽle d’identitĂ© AprĂšs cela, Droit pĂ©nal spĂ©cial les infractions du code pĂ©nal Puis, pĂ©nal des affaires contrĂŽle d’identitĂ© Aussi, Droit pĂ©nal fiscal contrĂŽle d’identitĂ© MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’urbanisme De mĂȘme, Le droit pĂ©nal douanier En outre, Droit pĂ©nal de la presse Et ensuite, pĂ©nal des nuisances Donc, pĂ©nal routier infractions Outre cela, Droit pĂ©nal du travail MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’environnement Cependant, pĂ©nal de la famille En outre, Droit pĂ©nal des mineurs Ainsi, Droit pĂ©nal de l’informatique En fait, pĂ©nal international Tandis que, Droit pĂ©nal des sociĂ©tĂ©s NĂ©anmoins, Le droit pĂ©nal de la consommation Toutefois, Lexique de droit pĂ©nal Alors, Principales infractions en droit pĂ©nal Puis, ProcĂ©dure pĂ©nale Pourtant, Notions de criminologie En revanche, DÉFENSE PÉNALE Aussi, AUTRES DOMAINES Enfin, CONTACT.
L 331-21-1 du code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle et L. 3341-2 du code de la santĂ© publique, L. 234-18 et L. 235-5 du code de la route en ajoutant un alinĂ©a complĂ©mentaire Ă  chacune de ces dispositions, Ă©nonçant que : « ConformĂ©ment Ă  l'article 28 du code de procĂ©dure pĂ©nale, l'article 61-1 du mĂȘme code est applicable
VĂ©rifiĂ© le 13 janvier 2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministreUn agent de sĂ©curitĂ© a contrĂŽlĂ© votre bagage Ă  main dans un magasin ? Un agent de police a fouillĂ© le coffre de votre voiture ? Vous avez subi une palpation de sĂ©curitĂ© lors d'une manifestation sportive ? Cette page indique les rĂšgles du contrĂŽle de sĂ©curitĂ©. Dans tous les cas, la loi prĂ©cise qui peut faire le contrĂŽle officier de police judiciaire titleContent, mĂ©decin... et dans quelles palpation de sĂ©curitĂ© est une recherche extĂ©rieure, au dessus des vĂȘtements, d'objets dangereux pour la agents du service d'ordre d'une manifestation, les agents de surveillance et de gardiennage d'entreprise agréés peuvent procĂ©der Ă  une palpation de lors d'une garde Ă  vueLorsqu'une personne est placĂ©e en garde Ă  vue, un agent de police ou de gendarmerie peut procĂ©der Ă  une palpation de palpation de sĂ©curitĂ© a pour but de s'assurer que la personne placĂ©e en garde Ă  vue n'a pas avec elle un objet consentement de la personne n'est pas palpation doit ĂȘtre faite par une personne de mĂȘme sexe que la personne en dehors de toute manifestation sportive, culturelle...En cas de circonstances particuliĂšres liĂ©es Ă  des menaces graves pour la sĂ©curitĂ© publique, un agent de police ou de gendarmerie peut procĂ©der Ă  une palpation de exemple, en cas de menace exprĂšs titleContent de la personne est prĂ©fet du dĂ©partement, ou le prĂ©fet de Paris, constate par arrĂȘtĂ© ces circonstances prĂ©fet fixe la durĂ©e et dĂ©termine les lieux ou catĂ©gories de lieux dans lesquels les contrĂŽles peuvent ĂȘtre exemple, des centres la personne accepte la palpation, celle-ci doit ĂȘtre faite par une personne de mĂȘme savoir pour accĂ©der Ă  un bateau et Ă  bord, en cas de menace grave pour la sĂ©curitĂ© publique, il peut ĂȘtre procĂ©dĂ© Ă  une palpation de sĂ©curitĂ©. L'accord de la personne est durant une manifestation rĂ©unissant plus de 300 personnesPour l'accĂšs Ă  l'enceinte d'une manifestation de plus de 300 spectateurs, un agent de sĂ©curitĂ© agréé par la commission d'agrĂ©ment et de contrĂŽle du CNAPS titleContent peut procĂ©der Ă  une palpation de peut s'agir, par exemple, d'une manifestation sportive ou exprĂšs titleContent de la personne est palpation doit ĂȘtre faite par une personne de mĂȘme sexe que la personne procĂ©dure se fait sous le contrĂŽle d'un officier de police judiciaire OPJ intĂ©graleLa fouille intĂ©grale, aussi appelĂ©e fouille Ă  corps, consiste Ă  rechercher sur le corps d'une personne des objets pouvant servir Ă  commettre une infraction personne peut ĂȘtre amenĂ©e Ă  se fouille intĂ©grale est possible uniquement dans les 4 cas suivants Flagrant dĂ©lit titleContentEnquĂȘte prĂ©liminaire titleContent, avec l'accord exprĂšs titleContent de la personneCommission rogatoire titleContentRecherche de fraude douaniĂšreLa fouille intĂ©grale doit ĂȘtre indispensable pour l' est possible uniquement si la palpation de sĂ©curitĂ© ou les moyens de dĂ©tections Ă©lectroniques ne sont pas fouille est pratiquĂ©e par un officier de police judiciaire OPJ titleContent du mĂȘme sexe que la personne dans un local retirĂ© et la personne refuse la fouille, l'OPJ doit prĂ©venir le procureur de la rĂ©publique titleContent ou le juge d' dans le corpsCas gĂ©nĂ©ralLa fouille dans le corps d'une personne est possible uniquement dans le cadre d'une garde Ă  vue, aprĂšs un crime ou un flagrant dĂ©lit est utilisĂ©e quand la personne placĂ©e en garde Ă  vue est soupçonnĂ©e de transporter ou dissimuler des objets interdits par la loi stupĂ©fiants... Ă  l'intĂ©rieur de son corps vagin, rectum....Seul un mĂ©decin peut procĂ©der Ă  une fouille Ă  l'intĂ©rieur du corps de la douanierUn douanier peut dĂ©cider une fouille dans le corps d'une personne soupçonnĂ©e de transporter des produits fouille est rĂ©alisĂ©e par un de la personne est cas de refus de la personne, l'agent doit demander au juge l'autorisation de faire procĂ©der Ă  l' juge doit alors dĂ©signer un cas de refus de la personne de se soumettre Ă  l'examen mĂ©dical dĂ©cidĂ© par le juge, une sanction d'1 an de prison et de 3 750 € d'amende est dans un lieu publicCas gĂ©nĂ©ralLa fouille dans les affaires personnelles sac, portefeuille, poche.. d'une personne est assimilĂ©e Ă  une un officier de police judiciaire OPJ titleContent ou un gendarme peut fouiller dans les effets personnels d'une personne, en cas de flagrant dĂ©lit titleContent, d'enquĂȘte prĂ©liminaire titleContent ou de commission rogatoire douanier peut faire une fouille lors de la recherche d'une agents de surveillance, de gardiennage ou de sĂ»retĂ©, y compris les agents agréés employĂ©s par des sociĂ©tĂ©s privĂ©es, peuvent inspecter visuellement les bagages Ă  peuvent aussi, avec l'accord de la personne, les ils peuvent exercer leurs fonctions uniquement Ă  l'intĂ©rieur des bĂątiments ou dans la limite des lieux dont ils ont la terroristesSi des actes terroristes titleContent ont Ă©tĂ© commis, le procureur de la RĂ©publique titleContent peut dĂ©terminer des lieux oĂč des inspections et des fouilles peuvent se exemple, un centre ce cadre, l'officier de police judiciaire OPJ titleContent peut inspecter visuellement des bagages ou les fouiller, pendant 24 heures maximum, volontaire servant en tant que militaire, agissant sur l'ordre et sous la responsabilitĂ© de l'OPJ, peut aussi faire ces inspections visuelles et ces visuelle ou la fouille du bagage doit avoir lieu en prĂ©sence du le propriĂ©taire du bagage le demande, l'OPJ Ă©tablit un procĂšs-verbal mentionnant le lieu, la date et l'heure du dĂ©but et de fin de l'inspection visuelle ou de la exemplaire du procĂšs-verbal est remis au propriĂ©taire et un autre exemplaire est transmis au procureur de la au travailL'ouverture du casier d'un salariĂ© peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e uniquement dans les cas prĂ©vus par le rĂšglement intĂ©rieur de l' salariĂ© doit avoir Ă©tĂ© informĂ© de cette fouille des effets personnels d'un salariĂ© peut intervenir pour des raisons de sĂ©curitĂ© collective par exemple, risque d'attentat ou pour des raisons liĂ©es Ă  la recherche d'objets salariĂ© doit avoir Ă©tĂ© averti Ă  l'avance et avoir donnĂ© son peut exiger la prĂ©sence d'un exemple, un reprĂ©sentant du le salariĂ© refuse, l'employeur peut appeler un officier de police judiciaire OPJ titleContent pour fouiller ses affaires Ă  l'Ă©coleDans les Ă©coles, seul un officier de police judiciaire OPJ titleContent peut fouiller les effets personnels d'un Ă©lĂšve sac, casier....L'Ă©lĂšve doit ĂȘtre prĂ©sent en cas de fouille de ses Ă  bord d'un bateauPour l'accĂšs Ă  un bateau et Ă  bord, il peut ĂȘtre procĂ©dĂ© Ă  une inspection visuelle des bagages, et avec l'accord de leur propriĂ©taire, Ă  leur gĂ©nĂ©ralLa fouille d'un vĂ©hicule est possible dans les cas suivants En cas de soupçons de crime ou de flagrant titleContent dĂ©lit commis par l'un des occupantsSur demande du procureur de la RĂ©publique titleContent dans le cadre de recherches ou poursuites judiciaires de certaines infractions exemple, acte de terrorisme, trafic de stupĂ©fiants, participation Ă  une manifestation ou une rĂ©union publique en Ă©tant porteur d'une prĂ©venir une atteinte grave Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes et des ce cas, l'accord du conducteur est cas de refus, le vĂ©hicule est immobilisĂ© 30 minutes maximum en attendant les instructions du procureur de la fouille doit ĂȘtre faite par un officier de police judiciaire OPJ titleContent ou, sous sa responsabilitĂ©, par un agent de police judiciaire ou un agent de police judiciaire agents des douanes disposent d'un pouvoir de fouille des vĂ©hicules pour la recherche de fraude fouille doit ĂȘtre faite en prĂ©sence du servant d'habitationLa fouille d'un vĂ©hicule d'habitation par exemple, pĂ©niche, caravane... doit ĂȘtre faite dans le cadre de la perquisition par un officier de police judiciaire OPJ titleContent en prĂ©sence du peut ainsi avoir lieu En cas de flagrant dĂ©lit titleContent, sans l'accord de la personneLors d'une enquĂȘte prĂ©liminaire titleContent, avec l'accord de la personneAvec une commission rogatoire titleContentLa fouille du vĂ©hicule d'habitation ne peut avoir lieu que de 6 heures Ă  21 ? 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EnenquĂȘte prĂ©liminaire, l’article 78 du Code de procĂ©dure pĂ©nale permet Ă  l’officier de police judiciaire de convoquer une personne aux fins d’audition. Cette personne est alors tenue de Le Quotidien du 27 mai 2011 Droit des Ă©trangers CrĂ©er un lien vers ce contenu [BrĂšves] L'article 78-2 du Code de procĂ©dure pĂ©nale n'autorise pas les contrĂŽles d'identitĂ© destinĂ©s Ă  contrĂŽler la rĂ©gularitĂ© de la prĂ©sence de la personne sur le territoire français. Lire en ligne Copier Ainsi statue la Cour de cassation dans un arrĂȘt rendu le 18 mai 2011 Cass. civ. 1, 18 mai 2011, n° F-P+B+I N° Lexbase A2606HSC. En l'espĂšce, M. X, de nationalitĂ© kosovare, en situation irrĂ©guliĂšre en France, auquel avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment notifiĂ©e une obligation de quitter le territoire français, a Ă©tĂ© interpellĂ© le 6 octobre 2009, dans le hall accessible au public de la gare ferroviaire de Toulouse ouverte au trafic international. Le mĂȘme jour, le prĂ©fet de la Haute-Garonne lui a notifiĂ© une dĂ©cision de maintien en rĂ©tention dans des locaux ne relevant pas de l'administration pĂ©nitentiaire. Un juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention a ordonnĂ© la prolongation de la rĂ©tention de M. X pour une durĂ©e maximale de quinze jours. Pour confirmer cette dĂ©cision, l'ordonnance attaquĂ©e relĂšve que, dans les zones accessibles au public des gares ferroviaires ouvertes au trafic international et dĂ©signĂ©es par arrĂȘtĂ©, l'identitĂ© de toute personne peut ĂȘtre contrĂŽlĂ©e en vue de vĂ©rifier le respect des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vus par la loi, et que, en consĂ©quence, le contrĂŽle d'identitĂ© est rĂ©gulier. A l'inverse, la Cour suprĂȘme rappelle que la CJUE a, par un arrĂȘt du 22 juin 2010 CJUE, 22 juin 2010, aff. C-188/10 et C-189/10 N° Lexbase A1918E3G, dit pour droit que l'article 67, paragraphe 2, TFUE N° Lexbase L2717IPC, ainsi que les articles 20 et 21 du RĂšglement CE n° 562/2006 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 15 mars 2006 N° Lexbase L0989HIH s'opposaient Ă  une lĂ©gislation nationale confĂ©rant aux autoritĂ©s de police de l'Etat membre concernĂ©, la compĂ©tence de contrĂŽler, uniquement dans une zone dĂ©finie, l'identitĂ© de toute personne, indĂ©pendamment du comportement de celle-ci et de circonstances particuliĂšres Ă©tablissant un risque d'atteinte Ă  l'ordre public, en vue de vĂ©rifier le respect des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et des documents prĂ©vus par la loi, sans prĂ©voir l'encadrement nĂ©cessaire de cette compĂ©tence garantissant que l'exercice pratique de ladite compĂ©tence ne puisse revĂȘtir un effet Ă©quivalent Ă  celui des vĂ©rifications aux frontiĂšres. En statuant comme il l'a fait, alors que l'article 78-2, alinĂ©a 4, du Code de procĂ©dure pĂ©nale N° Lexbase L7648IPX, qui n'est assorti d'aucune disposition offrant une telle garantie, ne pouvait fonder la rĂ©gularitĂ© de la procĂ©dure, le premier prĂ©sident de la cour d'appel a violĂ© les textes susvisĂ©s voir, dans le mĂȘme sens, Cass. civ. 1, 23 fĂ©vrier 2011, n° F-P+B+I N° Lexbase A4665GX3 et lire N° Lexbase N9555BRC. © Reproduction interdite, sauf autorisation Ă©crite prĂ©alable newsid422989 Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies Ă  des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramĂ©trer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisĂ©e uniquement pour des besoins internes, peut ĂȘtre amenĂ© Ă  suivre une partie du parcours utilisateur afin d’amĂ©liorer l’expĂ©rience utilisateur et l’éventuelle relation commerciale. Il s’agit d’information uniquement dĂ©diĂ©e Ă  l’usage de Lexbase et elles ne sont communiquĂ©es Ă  aucun tiers, autre que Salesforce qui s’est engagĂ©e Ă  ne pas utiliser lesdites donnĂ©es. DonnĂ©es analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilitĂ© d'accĂšs aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'amĂ©liorer quotidiennement votre expĂ©rience utilisateur. Ces donnĂ©es sont exclusivement Ă  usage interne.
21Rabie Ethani 1441 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N° 78 11 18 dĂ©cembre 2019 Loi n° 19-10 du 14 Rabie Ethani 1441 correspondant au 11 dĂ©cembre 2019 modifiant l’ordonnance n° 66-155 du 8 juin 1966 portant code de procĂ©dure pĂ©nale. ———— Le Chef de l’Etat, Vu la Constitution, notamment ses articles 102 (alinĂ©a 6),
a. Loi n° 2001-1062 du 15 novembre 2001 relative Ă  la sĂ©curitĂ© quotidienne - Article 23 AprĂšs l'article 78-2-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale, il est insĂ©rĂ© un article 78-2-2 ainsi rĂ©digĂ© Art. 78-2-2. - Sur rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique aux fins de recherche et de poursuite des actes de terrorisme visĂ©s par les articles 421-1 Ă  421-5 du code pĂ©nal, des infractions en matiĂšre d'armes et d'explosifs visĂ©es par l'article 3 de la loi du 19 juin 1871 prĂ©citĂ©e et par les articles 20, 31 et 32 du dĂ©cret du 18 avril 1939 prĂ©citĂ© ou des faits de trafic de stupĂ©fiants visĂ©s par les articles 222-34 Ă  222-38 du code pĂ©nal, les officiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21, peuvent, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine, procĂ©der non seulement aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au sixiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2 mais aussi Ă  la visite des vĂ©hicules circulant, arrĂȘtĂ©s ou stationnant sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public. Pour l'application des dispositions du prĂ©sent article, les vĂ©hicules en circulation ne peuvent ĂȘtre immobilisĂ©s que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de la visite qui doit avoir lieu en prĂ©sence du conducteur. Lorsqu'elle porte sur un vĂ©hicule Ă  l'arrĂȘt ou en stationnement, la visite se dĂ©roule en prĂ©sence du conducteur ou du propriĂ©taire du vĂ©hicule ou, Ă  dĂ©faut, d'une personne requise Ă  cet effet par l'officier ou l'agent de police judiciaire et qui ne relĂšve pas de son autoritĂ© administrative. La prĂ©sence d'une personne extĂ©rieure n'est toutefois pas requise si la visite comporte des risques particuliers. En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le conducteur ou le propriĂ©taire du vĂ©hicule le demande ainsi que dans le cas oĂč la visite se dĂ©roule en leur absence, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures du dĂ©but et de la fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. Le fait que ces opĂ©rations rĂ©vĂšlent des infractions autres que celles visĂ©es dans les rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes. » b. Loi n° 2003-239 du 18 mars 2003 pour la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure - Article 11 I. - L'article 23 de la loi n° 2001-1062 du 15 novembre 2001 relative Ă  la sĂ©curitĂ© quotidienne est abrogĂ©. II. - L'article 78-2-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale est ainsi rĂ©tabli Art. 78-2-2. - Sur rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique aux fins de recherche et de poursuite des actes de terrorisme visĂ©s par les articles 421-1 Ă  421-5 du code pĂ©nal, des infractions en matiĂšre d'armes et d'explosifs visĂ©es par l'article 3 de la loi du 19 juin 1871 qui abroge le dĂ©cret du 4 septembre 1870 sur la fabrication des armes de guerre et par les articles 20, 31 et 32 du dĂ©cret du 18 avril 1939 fixant le rĂ©gime des matĂ©riels de guerre, armes et munitions, des infractions de vol visĂ©es par les articles 311-3 Ă  311-11 du code pĂ©nal, de recel visĂ©es par les articles 321-1 et 321-2 du mĂȘme code ou des faits de trafic de stupĂ©fiants visĂ©s par les articles 222-34 Ă  222-38 dudit code, les officiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 peuvent, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine et qui ne peut excĂ©der vingt-quatre heures, renouvelables sur dĂ©cision expresse et motivĂ©e selon la mĂȘme procĂ©dure, procĂ©der non seulement aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au sixiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2 mais aussi Ă  la visite des vĂ©hicules circulant, arrĂȘtĂ©s ou stationnant sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public. 13 Pour l'application des dispositions du prĂ©sent article, les vĂ©hicules en circulation ne peuvent ĂȘtre immobilisĂ©s que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de la visite qui doit avoir lieu en prĂ©sence du conducteur. Lorsqu'elle porte sur un vĂ©hicule Ă  l'arrĂȘt ou en stationnement, la visite se dĂ©roule en prĂ©sence du conducteur ou du propriĂ©taire du vĂ©hicule ou, Ă  dĂ©faut, d'une personne requise Ă  cet effet par l'officier ou l'agent de police judiciaire et qui ne relĂšve pas de son autoritĂ© administrative. La prĂ©sence d'une personne extĂ©rieure n'est toutefois pas requise si la visite comporte des risques graves pour la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens. En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le conducteur ou le propriĂ©taire du vĂ©hicule le demande ainsi que dans le cas oĂč la visite se dĂ©roule en leur absence, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures du dĂ©but et de la fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. Toutefois, la visite des vĂ©hicules spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s Ă  usage d'habitation et effectivement utilisĂ©s comme rĂ©sidence ne peut ĂȘtre faite que conformĂ©ment aux dispositions relatives aux perquisitions et visites domiciliaires. Le fait que ces opĂ©rations rĂ©vĂšlent des infractions autres que celles visĂ©es dans les rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes. » c. DĂ©cision n° 2003-467 DC du 13 mars 2003 - Loi pour la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure Quant Ă  l'article 11 11. ConsidĂ©rant que l'article 11 rĂ©tablit dans le code de procĂ©dure pĂ©nale un article 78-2-2 ainsi rĂ©digĂ© Sur rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique aux fins de recherche et de poursuite des actes de terrorisme visĂ©s par les articles 421-1 Ă  421-5 du code pĂ©nal, des infractions en matiĂšre d'armes et d'explosifs visĂ©es par l'article 3 de la loi du 19 juin 1871 qui abroge le dĂ©cret du 4 septembre 1870 sur la fabrication des armes de guerre et par les articles 20, 31 et 32 du dĂ©cret du 18 avril 1939 fixant le rĂ©gime des matĂ©riels de guerre, armes et munitions, des infractions de vol visĂ©es par les articles 311-3 Ă  311-11 du code pĂ©nal, de recel visĂ©es par les articles 321-1 et 321-2 du mĂȘme code ou des faits de trafic de stupĂ©fiants visĂ©s par les articles 222-34 Ă  222-38 dudit code, les officiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 peuvent, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine et qui ne peut excĂ©der vingt-quatre heures, renouvelables sur dĂ©cision expresse et motivĂ©e selon la mĂȘme procĂ©dure, procĂ©der non seulement aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au sixiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2 mais aussi Ă  la visite des vĂ©hicules circulant, arrĂȘtĂ©s ou stationnant sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public. - Pour l'application des dispositions du prĂ©sent article, les vĂ©hicules en circulation ne peuvent ĂȘtre immobilisĂ©s que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de la visite qui doit avoir lieu en prĂ©sence du conducteur. Lorsqu'elle porte sur un vĂ©hicule Ă  l'arrĂȘt ou en stationnement, la visite se dĂ©roule en prĂ©sence du conducteur ou du propriĂ©taire du vĂ©hicule ou, Ă  dĂ©faut, d'une personne requise Ă  cet effet par l'officier ou l'agent de police judiciaire et qui ne relĂšve pas de son autoritĂ© administrative. La prĂ©sence d'une personne extĂ©rieure n'est toutefois pas requise si la visite comporte des risques graves pour la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens. - En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le conducteur ou le propriĂ©taire du vĂ©hicule le demande ainsi que dans le cas oĂč la visite se dĂ©roule en leur absence, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures du dĂ©but et de la fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. - Toutefois, la visite des vĂ©hicules spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s Ă  usage d'habitation et effectivement utilisĂ©s comme rĂ©sidence ne peut ĂȘtre faite que conformĂ©ment aux dispositions relatives aux perquisitions et visites domiciliaires. - Le fait que ces opĂ©rations rĂ©vĂšlent des infractions autres que celles visĂ©es dans les rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes » ; 12. ConsidĂ©rant, s'agissant de visites de vĂ©hicules rĂ©alisĂ©es sur rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique, que la conciliation assurĂ©e par ces dispositions entre les principes constitutionnels rappelĂ©s ci-dessus n'est entachĂ©e d'aucune erreur manifeste ; que la liste des infractions figurant au premier alinĂ©a du nouvel article 78-2-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale n'est pas manifestement excessive au regard de l'intĂ©rĂȘt public qui s'attache Ă  la recherche des auteurs de ces infractions ; que ces dispositions ne mĂ©connaissent pas l'article 66 de la Constitution ; que leurs termes sont assez clairs et prĂ©cis pour rĂ©pondre aux exigences de l'article 34 de celle-ci ; qu'il en est notamment ainsi, contrairement aux affirmations des requĂ©rants, de l'expression lieux accessibles au public » et de celle de vĂ©hicules spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s Ă  usage d'habitation et effectivement utilisĂ©s comme rĂ©sidence » ; qu'ainsi qu'il ressort des termes mĂȘmes du premier alinĂ©a du nouvel article 78-2-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale, chaque renouvellement de l'autorisation du procureur de la RĂ©publique vaudra pour une durĂ©e de vingt-quatre heures ; 14 
 DĂ©cide Article 1 Ne sont pas contraires Ă  la Constitution, sous les rĂ©serves Ă©noncĂ©es aux considĂ©rants 26, 34, 35, 38, 43, 57, 63, 73, 77, 84, 85, 86 et 104, les dispositions de la loi pour la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure critiquĂ©es par l'une ou l'autre saisine. d. Loi n° 2005-1550 du 12 dĂ©cembre 2005 modifiant diverses dispositions relatives Ă  la dĂ©fense - Article 18 Le code de procĂ©dure pĂ©nale est ainsi modifiĂ© 
 2° Dans le premier alinĂ©a de l'article 78-2-2, les mots l'article 3 de la loi du 19 juin 1871 qui abroge le dĂ©cret du 4 septembre 1870 sur la fabrication des armes de guerre et par les articles 20, 31 et 32 du dĂ©cret du 18 avril 1939 fixant le rĂ©gime des matĂ©riels de guerre, armes et munitions » sont remplacĂ©s par les mots les articles L. 2339-8, L. 2339-9 et L. 2353-4 du code de la dĂ©fense » ; e. Loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative Ă  la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relatives Ă  la sĂ©curitĂ© et aux contrĂŽles frontaliers - Article 11 
 II. - Dans le premier alinĂ©a des articles 78-2-2 et 706-16 et le 11° de l'article 706-73 du code de procĂ©dure pĂ©nale, la rĂ©fĂ©rence 421-5 » est remplacĂ©e par la rĂ©fĂ©rence 421-6 ». f. Loi n° 2011-266 du 14 mars 2011 relative Ă  la lutte contre la prolifĂ©ration des armes de destruction massive et de leurs vecteurs - Article 17 Le mĂȘme code est ainsi modifiĂ© 1° Au premier alinĂ©a de l'article 78-2-2, aprĂšs les mots des infractions en matiĂšre », sont insĂ©rĂ©s les mots de prolifĂ©ration des armes de destruction massive et de leurs vecteurs visĂ©es aux 1° et 2° du I de l'article L. 1333-9, Ă  l'article L. 1333-11, au II des articles L. 1333-13-3 et L. 1333-13-4 et aux articles L. 1333-13-5, L. 2339-14, L. 2339-15, L. 2341-1, L. 2341-2, L. 2341-4, L. 2342-59 et L. 2342-60 du code de la dĂ©fense, » ; 
 g. Ordonnance n° 2012-351 du 12 mars 2012 relative Ă  la partie lĂ©gislative du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure - Article 9 Le code de procĂ©dure pĂ©nale est ainsi modifiĂ© 
 2° Au premier alinĂ©a de l'article 78-2-2, les mots , L. 2339-9 et L. 2353-4 du code de la dĂ©fense » sont remplacĂ©s par les mots et L. 2353-4 du code de la dĂ©fense et L. 317-8 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure » ; 15 h. Loi n° 2014-1353 du 13 novembre 2014 renforçant les dispositions relatives Ă  la lutte contre le terrorisme - Article 24 I. - Les ordonnances n° 2012-351 du 12 mars 2012 relative Ă  la partie lĂ©gislative du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure, n° 2013-518 du 20 juin 2013 modifiant certaines dispositions du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et du code de la dĂ©fense parties lĂ©gislatives relatives aux armes et munitions et n° 2013-519 du 20 juin 2013 modifiant certaines dispositions du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure partie lĂ©gislative relatives Ă  l'outre-mer sont ratifiĂ©es. 
 i. Loi n° 2016-339 du 22 mars 2016 relative Ă  la prĂ©vention et Ă  la lutte contre les incivilitĂ©s, contre les atteintes Ă  la sĂ©curitĂ© publique et contre les actes terroristes dans les transports collectifs de voyageurs - Article 9 Le chapitre III du titre II du livre Ier du mĂȘme code est ainsi modifiĂ© 1° L'article 78-2-2est ainsi rĂ©digĂ© Art. rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique aux fins de recherche et de poursuite des actes de terrorisme mentionnĂ©s aux articles 421-1 Ă  421-6 du code pĂ©nal, des infractions en matiĂšre de prolifĂ©ration des armes de destruction massive et de leurs vecteurs mentionnĂ©es aux 1° et 2° du I de l'article L. 1333-9, Ă  l'article L. 1333-11, au II des articles L. 1333-13-3 et L. 1333-13-4 et aux articles L. 1333-13-5, L. 2339-14, L. 2339-15, L. 2341-1, L. 2341-2, L. 2341-4, L. 2342-59 et L. 2342-60 du code de la dĂ©fense, des infractions en matiĂšre d'armes et d'explosifs mentionnĂ©es aux articles L. 317-7 et L. 317-8 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et Ă  l'article L. 2353-4 du code de la dĂ©fense, des infractions de vol mentionnĂ©es aux articles 311-3 Ă  311-11 du code pĂ©nal, des infractions de recel mentionnĂ©es aux articles 321-1 et 321-2 du mĂȘme code ou des faits de trafic de stupĂ©fiants mentionnĂ©s aux articles 222-34 Ă  222-38 dudit code, les officiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 du prĂ©sent code peuvent, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine et qui ne peut excĂ©der vingt-quatre heures, renouvelables sur dĂ©cision expresse et motivĂ©e selon la mĂȘme procĂ©dure, procĂ©der non seulement aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au sixiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2 mais aussi Ă  1° La visite des vĂ©hicules circulant, arrĂȘtĂ©s ou stationnant sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public ; 2° L'inspection visuelle des bagages ou leur fouille, dans les vĂ©hicules et emprises immobiliĂšres des transports publics de voyageurs. l'application du 1° du I, les vĂ©hicules en circulation ne peuvent ĂȘtre immobilisĂ©s que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de la visite qui doit avoir lieu en prĂ©sence du conducteur. Lorsqu'elle porte sur un vĂ©hicule Ă  l'arrĂȘt ou en stationnement, la visite se dĂ©roule en prĂ©sence du conducteur ou du propriĂ©taire du vĂ©hicule ou, Ă  dĂ©faut, d'une personne requise Ă  cet effet par l'officier ou l'agent de police judiciaire et qui ne relĂšve pas de son autoritĂ© administrative. La prĂ©sence d'une personne extĂ©rieure n'est toutefois pas requise si la visite comporte des risques graves pour la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens. En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le conducteur ou le propriĂ©taire du vĂ©hicule le demande ainsi que dans le cas oĂč la visite se dĂ©roule en leur absence, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures de dĂ©but et de fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre exemplaire est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. Toutefois, la visite des vĂ©hicules spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s Ă  usage d'habitation et effectivement utilisĂ©s comme rĂ©sidence ne peut ĂȘtre faite que conformĂ©ment aux dispositions relatives aux perquisitions et visites domiciliaires. 16 l'application du 2° du I, les propriĂ©taires des bagages ne peuvent ĂȘtre retenus que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de l'inspection visuelle ou de la fouille des bagages, qui doit avoir lieu en prĂ©sence du propriĂ©taire. En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le propriĂ©taire du bagage le demande, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures de dĂ©but et de fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre exemplaire est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. fait que ces opĂ©rations rĂ©vĂšlent des infractions autres que celles visĂ©es dans les rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes. » ; j. Loi n° 2016-731 du 3 juin 2016 renforçant la lutte contre le crime organisĂ©, le terrorisme et leur financement, et amĂ©liorant l'efficacitĂ© et les garanties de la procĂ©dure pĂ©nale - Article 47 Le code de procĂ©dure pĂ©nale est ainsi modifiĂ© 1° L'article 78-2-2 est ainsi rĂ©digĂ© Art. 78-2-2. - I. - Sur rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine et qui ne peut excĂ©der vingt-quatre heures, renouvelables sur dĂ©cision expresse et motivĂ©e selon la mĂȘme procĂ©dure, les officiers de police judiciaire et, sur l'ordre et sous la responsabilitĂ© de ceux-ci, les agents de police judiciaire et les agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 du prĂ©sent code, peuvent procĂ©der aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au septiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2, aux fins de recherche et de poursuite des infractions suivantes 1° Actes de terrorisme mentionnĂ©s aux articles 421-1 Ă  421-6 du code pĂ©nal ; 2° Infractions en matiĂšre de prolifĂ©ration des armes de destruction massive et de leurs vecteurs mentionnĂ©es aux 1° et 2° du I de l'article L. 1333-9, Ă  l'article L. 1333-11, au II des articles L. 1333-13-3 et L. 1333-13-4 et aux articles L. 1333-13-5, L. 2339-14, L. 2339-15, L. 2341-1, L. 2341-2, L. 2341-4, L. 2342-59 et L. 2342-60 du code de la dĂ©fense ; 3° Infractions en matiĂšre d'armes mentionnĂ©es Ă  l'article 222-54 du code pĂ©nal et Ă  l'article L. 317-8 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ; 4° Infractions en matiĂšre d'explosifs mentionnĂ©s Ă  l'article 322-11-1 du code pĂ©nal et Ă  l'article L. 2353-4 du code de la dĂ©fense ; 5° Infractions de vol mentionnĂ©es aux articles 311-3 Ă  311-11 du code pĂ©nal ; 6° Infractions de recel mentionnĂ©es aux articles 321-1 et 321-2 du mĂȘme code ; 7° Faits de trafic de stupĂ©fiants mentionnĂ©s aux articles 222-34 Ă  222-38 dudit code. II. - Dans les mĂȘmes conditions et pour les mĂȘmes infractions que celles prĂ©vues au I, les officiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 du prĂ©sent code peuvent procĂ©der Ă  la visite des vĂ©hicules circulant, arrĂȘtĂ©s ou stationnant sur la voie publique ou dans des lieux accessibles au public. Les vĂ©hicules en circulation ne peuvent ĂȘtre immobilisĂ©s que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de la visite qui doit avoir lieu en prĂ©sence du conducteur. Lorsqu'elle porte sur un vĂ©hicule Ă  l'arrĂȘt ou en stationnement, la visite se dĂ©roule en prĂ©sence du conducteur ou du propriĂ©taire du vĂ©hicule ou, Ă  dĂ©faut, d'une personne requise Ă  cet effet par l'officier ou l'agent de police judiciaire et qui ne relĂšve pas de son autoritĂ© administrative. La prĂ©sence d'une personne extĂ©rieure n'est toutefois pas requise si la visite comporte des risques graves pour la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens. En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le conducteur ou le propriĂ©taire du vĂ©hicule le demande ainsi que dans le cas oĂč la visite se dĂ©roule en leur absence, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures de dĂ©but et de fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre exemplaire est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. Toutefois, la visite des vĂ©hicules spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s Ă  usage d'habitation et effectivement utilisĂ©s comme rĂ©sidence ne peut ĂȘtre faite que conformĂ©ment aux dispositions relatives aux perquisitions et visites domiciliaires. 17 III. - Dans les mĂȘmes conditions et pour les mĂȘmes infractions que celles prĂ©vues au I, les officiers de police judiciaire, assistĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant, des agents de police judiciaire et des agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 du prĂ©sent code peuvent procĂ©der Ă  l'inspection visuelle des bagages ou Ă  leur fouille. Les propriĂ©taires des bagages ne peuvent ĂȘtre retenus que le temps strictement nĂ©cessaire au dĂ©roulement de l'inspection visuelle ou de la fouille des bagages, qui doit avoir lieu en prĂ©sence du propriĂ©taire. En cas de dĂ©couverte d'une infraction ou si le propriĂ©taire du bagage le demande, il est Ă©tabli un procĂšs-verbal mentionnant le lieu et les dates et heures de dĂ©but et de fin de ces opĂ©rations. Un exemplaire en est remis Ă  l'intĂ©ressĂ© et un autre exemplaire est transmis sans dĂ©lai au procureur de la RĂ©publique. IV. - Le fait que ces opĂ©rations rĂ©vĂšlent des infractions autres que celles visĂ©es dans les rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes. » ; - Article 78-2-2 ModifiĂ© par LOI n°2016-731 du 3 juin 2016 - art. 47 rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine et qui ne peut excĂ©der vingt-quatre heures, renouvelables sur dĂ©cision expresse et motivĂ©e selon la mĂȘme procĂ©dure, les officiers de police judiciaire et, sur l'ordre et sous la responsabilitĂ© de ceux-ci, les agents de police judiciaire et les agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 du prĂ©sent code, peuvent procĂ©der aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au septiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2, rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique, dans les lieux et pour la pĂ©riode de temps que ce magistrat dĂ©termine et qui ne peut excĂ©der vingt-quatre heures, renouvelables sur dĂ©cision expresse et motivĂ©e selon la mĂȘme procĂ©dure, les officiers de police judiciaire et, sur l'ordre et sous la responsabilitĂ© de ceux-ci, les agents de police judiciaire et les agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux 1°, 1° bis et 1° ter de l'article 21 du prĂ©sent code, peuvent procĂ©der aux contrĂŽles d'identitĂ© prĂ©vus au septiĂšme alinĂ©a de l'article 78-2,
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Pratiquede la justice pĂ©nale des mineurs (78) Les tutelles (200) Pratique du service civil (ancien TI) (314) Pratique du service gĂ©nĂ©ral (ancien TI) (119) Pratique du service pĂ©nal (118) Pratique du tribunal correctionnel (374) Pratique de l’instruction (106) Pratique de la cour d’assises (600) Frais et dĂ©pens (225) Aide juridique (139) Pratique des juridictions du travail ï»żLes officiers de police judiciaire et, sur l'ordre et sous la responsabilitĂ© de ceux-ci, les agents de police judiciaire et agents de police judiciaire adjoints mentionnĂ©s aux articles 20 et 21-1° peuvent inviter Ă  justifier, par tout moyen, de son identitĂ© toute personne Ă  l'Ă©gard de laquelle existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner -qu'elle a commis ou tentĂ© de commettre une infraction ;-ou qu'elle se prĂ©pare Ă  commettre un crime ou un dĂ©lit ;-ou qu'elle est susceptible de fournir des renseignements utiles Ă  l'enquĂȘte en cas de crime ou de dĂ©lit ;-ou qu'elle a violĂ© les obligations ou interdictions auxquelles elle est soumise dans le cadre d'un contrĂŽle judiciaire, d'une mesure d'assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique, d'une peine ou d'une mesure suivie par le juge de l'application des peines ;-ou qu'elle fait l'objet de recherches ordonnĂ©es par une autoritĂ© rĂ©quisitions Ă©crites du procureur de la RĂ©publique aux fins de recherche et de poursuite d'infractions qu'il prĂ©cise, l'identitĂ© de toute personne peut ĂȘtre Ă©galement contrĂŽlĂ©e, selon les mĂȘmes modalitĂ©s, dans les lieux et pour une pĂ©riode de temps dĂ©terminĂ©s par ce magistrat. Le fait que le contrĂŽle d'identitĂ© rĂ©vĂšle des infractions autres que celles visĂ©es dans les rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures de toute personne, quel que soit son comportement, peut Ă©galement ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, selon les modalitĂ©s prĂ©vues au premier alinĂ©a, pour prĂ©venir une atteinte Ă  l'ordre public, notamment Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes ou des une zone comprise entre la frontiĂšre terrestre de la France avec les Etats parties Ă  la convention signĂ©e Ă  Schengen le 19 juin 1990 et une ligne tracĂ©e Ă  20 kilomĂštres en deçà, ainsi que dans les zones accessibles au public des ports, aĂ©roports et gares ferroviaires ou routiĂšres ouverts au trafic international et dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ© et aux abords de ces gares, pour la prĂ©vention et la recherche des infractions liĂ©es Ă  la criminalitĂ© transfrontaliĂšre, l'identitĂ© de toute personne peut Ă©galement ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, selon les modalitĂ©s prĂ©vues au premier alinĂ©a, en vue de vĂ©rifier le respect des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vues par la loi. Lorsque ce contrĂŽle a lieu Ă  bord d'un train effectuant une liaison internationale, il peut ĂȘtre opĂ©rĂ© sur la portion du trajet entre la frontiĂšre et le premier arrĂȘt qui se situe au-delĂ  des vingt kilomĂštres de la frontiĂšre. Toutefois, sur celles des lignes ferroviaires effectuant une liaison internationale et prĂ©sentant des caractĂ©ristiques particuliĂšres de desserte, le contrĂŽle peut Ă©galement ĂȘtre opĂ©rĂ© entre cet arrĂȘt et un arrĂȘt situĂ© dans la limite des cinquante kilomĂštres suivants. Ces lignes et ces arrĂȘts sont dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel. Lorsqu'il existe une section autoroutiĂšre dĂ©marrant dans la zone mentionnĂ©e Ă  la premiĂšre phrase du prĂ©sent alinĂ©a et que le premier pĂ©age autoroutier se situe au-delĂ  de la ligne des 20 kilomĂštres, le contrĂŽle peut en outre avoir lieu jusqu'Ă  ce premier pĂ©age sur les aires de stationnement ainsi que sur le lieu de ce pĂ©age et les aires de stationnement attenantes. Les pĂ©ages concernĂ©s par cette disposition sont dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ©. Le fait que le contrĂŽle d'identitĂ© rĂ©vĂšle une infraction autre que celle de non-respect des obligations susvisĂ©es ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes. Pour l'application du prĂ©sent alinĂ©a, le contrĂŽle des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vus par la loi ne peut ĂȘtre pratiquĂ© que pour une durĂ©e n'excĂ©dant pas douze heures consĂ©cutives dans un mĂȘme lieu et ne peut consister en un contrĂŽle systĂ©matique des personnes prĂ©sentes ou circulant dans les zones ou lieux mentionnĂ©s au mĂȘme un rayon maximal de dix kilomĂštres autour des ports et aĂ©roports constituant des points de passage frontaliers au sens de l'article 2 du rĂšglement UE 2016/399 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 9 mars 2016 concernant un code de l'Union relatif au rĂ©gime de franchissement des frontiĂšres par les personnes code frontiĂšres Schengen, dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ© en raison de l'importance de leur frĂ©quentation et de leur vulnĂ©rabilitĂ©, l'identitĂ© de toute personne peut ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, pour la recherche et la prĂ©vention des infractions liĂ©es Ă  la criminalitĂ© transfrontaliĂšre, selon les modalitĂ©s prĂ©vues au premier alinĂ©a du prĂ©sent article, en vue de vĂ©rifier le respect des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vus par la loi. L'arrĂȘtĂ© mentionnĂ© Ă  la premiĂšre phrase du prĂ©sent alinĂ©a fixe le rayon autour du point de passage frontalier dans la limite duquel les contrĂŽles peuvent ĂȘtre effectuĂ©s. Lorsqu'il existe une section autoroutiĂšre commençant dans la zone mentionnĂ©e Ă  la mĂȘme premiĂšre phrase et que le premier pĂ©age autoroutier se situe au-delĂ  des limites de cette zone, le contrĂŽle peut en outre avoir lieu jusqu'Ă  ce premier pĂ©age sur les aires de stationnement ainsi que sur le lieu de ce pĂ©age et les aires de stationnement attenantes. Les pĂ©ages concernĂ©s par cette disposition sont dĂ©signĂ©s par arrĂȘtĂ©. Le fait que le contrĂŽle d'identitĂ© rĂ©vĂšle une infraction autre que celle de non-respect des obligations susmentionnĂ©es ne constitue pas une cause de nullitĂ© des procĂ©dures incidentes. Pour l'application du prĂ©sent alinĂ©a, le contrĂŽle des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vus par la loi ne peut ĂȘtre pratiquĂ© que pour une durĂ©e n'excĂ©dant pas douze heures consĂ©cutives dans un mĂȘme lieu et ne peut consister en un contrĂŽle systĂ©matique des personnes prĂ©sentes ou circulant dans les zones mentionnĂ©es au prĂ©sent une zone comprise entre les frontiĂšres terrestres ou le littoral du dĂ©partement de la Guyane et une ligne tracĂ©e Ă  vingt kilomĂštres en-deçà, et sur une ligne tracĂ©e Ă  cinq kilomĂštres de part et d'autre, ainsi que sur la route nationale 2 sur le territoire de la commune de RĂ©gina, l'identitĂ© de toute personne peut ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, selon les modalitĂ©s prĂ©vues au premier alinĂ©a, en vue de vĂ©rifier le respect des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vus par la de toute personne peut Ă©galement ĂȘtre contrĂŽlĂ©e, selon les modalitĂ©s prĂ©vues au premier alinĂ©a du prĂ©sent article, en vue de vĂ©rifier le respect des obligations de dĂ©tention, de port et de prĂ©sentation des titres et documents prĂ©vus par la loi 1° En Guadeloupe, dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracĂ©e Ă  un kilomĂštre en deçà, ainsi que sur le territoire des communes que traversent les routes nationales 1, 2, 4, 5, 6, 9, 10 et 11 ;2° A Mayotte sur l'ensemble du territoire ;3° A Saint-Martin, dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracĂ©e Ă  un kilomĂštre en deçà ;4° A Saint-BarthĂ©lemy, dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracĂ©e Ă  un kilomĂštre en deçà ;5° En Martinique, dans une zone comprise entre le littoral et une ligne tracĂ©e Ă  un kilomĂštre en deçà, ainsi que dans une zone d'un kilomĂštre de part et d'autre de la route nationale 1 qui traverse les communes de Sainte-Marie, La TrinitĂ©, Le Robert et Le Lamentin, de la route nationale 2 qui traverse les communes de Saint-Pierre, Le Carbet, Le Morne-Rouge, l'Ajoupa-Bouillon et Basse-Pointe, de la route nationale 3 qui traverse les communes de Le Morne-Rouge, l'Ajoupa-Bouillon, Basse-Pointe, Fonds-Saint-Denis et Fort-de-France, de la route nationale 5 qui traverse les communes de Le Lamentin, Ducos, RiviĂšre-SalĂ©e, Sainte-Luce, RiviĂšre-Pilote et Le Marin, de la route nationale 6 qui traverse les communes de Ducos, Le Lamentin, Le Robert, Le François et Le Vauclin, RiviĂšre-SalĂ©e, Sainte-Luce, RiviĂšre-Pilote et Le Marin et de la route dĂ©partementale 1 qui traverse les communes de Le Robert, Le François et Le au IV de l'article 71 de la loi n° 2018-778 du 10 septembre 2018, ces dispositions entrent en vigueur Ă  une date fixĂ©e par dĂ©cret en Conseil d'Etat, au plus tard le 1er mars 2019 et s'appliquent aux contrĂŽles effectuĂ©s Ă  compter de cette date. g0Wey9Z.